« Caleb Harisson & Raphaël Tomhson » Bonne surprise, enfin, j'espère

Il y a des jours où l’on a juste besoin d’être avec les personnes qu’on aime. Mes parents habitants à plusieurs kilomètres d’ici, ce n’était pas vers eux que j’allais me tourné surtout qu’il y avait a quelques pas de chez moi la fille que j’aimais le plus au monde. Je m’étais levé assez tard comme tout les samedis. J’avoue que j’aimais dormir encore plus que j’aimais manger ou faire la fête. Par contre ce que je détestais, c’était rangé mes affaires alors le bordel m’est apparu d’un coup comme ca même si je n’avais absolument pas le moral pour faire ca. Mais à trois semaines du début des examens, je me suis dis qu’étudier ce serait mieux encore si je retrouvais mes affaires. Mais à chaque minute je pensais à Raphaël et je voulais tout quitter pour lui faire une surprise chez elle. Je regardais mon blackberry toutes les trois minutes en attendant un sms. Je ne voulais pas le faire en premier puisque je voulais lui faire une surprise mais j’avais vraiment envie d’avoir des nouvelles d’elle. En même temps, j’avais l’impression de ne jamais la voir. Je ne voulais pas la coller parce qu’on venait de se retrouver, je ne voulais pas la brusquer. Elle me semblait encore si fragile. J’avais donc l’air d’être plus un ami qu’un amant. Je lui parlais souvent mais c’était tout. On n’allait pas plus loin. Mais je n’allais pas m’en plaindre. Le principal c’est que je sois avec elle. Mais c’est comme s’il fallait recommencer tout depuis le début. Je le ferais s’il fallait, je ferais tout ou au moins j’essayerai. Je ne pourrais pas me dire que je l’ai perdu pour toujours.

Le rangement était enfin fini. Je filais sous la douche pour au moins ne pas sentir trop mauvais. J’enfilai un t-shirt et un jeans. Sookie n’était pas là. Je pris mon portefeuille sur la table, j’enfilai des basquets et je m’en allai après avoir laissé un petit mot à ma colocataire chérie. Je partis à la boulangerie pour aller chercher des pains au chocolat. Et je me dirigeai directement chez Raphael. J’avais pris ses clefs pour en faire un double. Je lui avais pas demandé, je l’avais fait c’est tout. Pour lui faire une petite surprise comme aujourd’hui. Raphaël était seul dans sa chambre. Je ne devais pas trop m’en faire. Je ne devrais tomber sur personne. Je pouvais avoir une vraiment mauvaise surprise mais cela m’étonnerais que je retrouve un mec dans sa chambre. Ou alors elle avait vraiment changé.

Je posai les pains au chocolat sur la table de la cuisine et allai dans sa chambre. Je pris une chaise et attendit qu’elle se réveille. Ca ne faisait rien d’attendre. J’aime la regarder dormir.

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J’aime bien regarder les gens dormir. On voit comment il est vraiment et ils ont toujours un visage calme et paisible, un visage comme je n’avais pas vu depuis longtemps sur le visage de Raphaël. Elle se réveilla et je souris, rien qu’à imaginer sa tête. Elle fut surprise. Qui ne le serait pas. Je m’approchais d’elle et je me mis au pied de son lit pour la saluer. « Bonjour … Comment tu vas aujourd'hui? Ca me fait plaisir de te voir tu sais. Tu aurais dû me prévenir … Je me serais levée exprès, et habillée également! Ah tu abuses Caleb. Je suis horrible là! » Sa réaction me fit rire. Moi je la trouvais toujours aussi belle que ses cheveux soient coiffé ou pas mais elle allait encore dire que il n’y a que moi qui dit ca et que c’est juste pour lui faire plaisir. Je la trouvais vraiment très jolie. Les filles ont toutes les mêmes réactions. Ses lèvres frôlèrent mes mains. J’adorais ce contact. Après tout c’était peut être l’un des plus intime que l’on avait alors il fallait savoir les apprécier. « Ceci dit, toi tu es tout beau dis donc. Rien que pour moi? » Tout beau, il ne faut pas forcer, un jean et des basquets. Je ris. J’enlaçai mes doigts avec les siens comme je faisais souvent. C’était juste pour lui montrer qu’on était lié. J’espérais qu’elle voyait ca comme ca. « Il faut bien qu’un des nous ressemble à quelque chose. » Je comptais jusqu’à trois dans ma tête. « Je rigole. Tu es la plus jolie. Pas besoin de parure pour ca, tu es magnifique. » Je lui fis le plus beau de mes sourires. J’aurais voulu rester près d’elle et l’embrasser. Mais je ne pouvais pas. C’était peut être moi qui me bloquais plus qu’elle. J’avais si peur d’aller trop loin. Je préférais de loin être un simple ami et apprécier tout les petits contacts même s’il ne s’agissait qu’un effleurement. Je lui souris puis pensa à un petit truc. « Dis, tu as un homme que tu n’a pas invité dans ta chambre et la seule chose à laquelle tu pense c’est à ta tenue. Je devrais monter la garde. » Je ris. « J’ai fait faire un double de ta clef sans que tu le remarque. Je voulais être sur de pouvoir toujours entrer chez toi si tu avais un problème. Ou pour te faire une surprise. » Je restais toujours assis aux pieds de son lit. Normalement un petit ami serait déjà dans le lit de sa copine mais nous deux c’était si différent par rapport à avant, par rapport à ce qu’on avait vécu. Tout avait tellement changé.

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J’aimais son rire et je ferais toutes les conneries du monde pour qu’elle rie. Enfin, ca c’était pas difficile, je disais et faisais beaucoup de conneries. Bien que ce soit pour elle que je me suis assagi. Parfois je me disais que c’était plus moi, que ca ne me ressemblait pas et puis je me rappelais comme j’étais quand j’étais petit et pour qui je faisais ca aujourd’hui. Pour Raphaël, parce qu’elle n’avait pas besoin de connaitre le mec que j’étais, ensuite pour ma mère qui me retirerait toute subvention au moindre écart de conduite. Si je n’avais plus d’argent, je ne pourrais pas à la FAC et ce n’est pas les petits boulot que je fais parfois qui m’aideront. Je ne voulais pas être vendeur de hot dog ou serveur dans un quelconque restaurant. Je voulais vivre de la musique. Depuis que j’étais venu ici, je m’étais rendu compte à quel point j’avais besoin de la musique. Après Raphaël, la guitare était ma seconde raison de vivre. Je n’aimais pas voir la tristesse dans les yeux de Raphaël alors je cherchais toujours à la faire sourire même si parfois ca relevait de la mission impossible. En venant chez elle sans qu’elle m’ait invité était un peu risqué, je ne pouvais pas savoir comment elle allait le prendre. Elle aurait peut être pu avoir eu peur. Mais heureusement elle avait l’air de prendre cela plutôt bien puisqu’elle n’avait pas crié et qu’elle ne m’en voulait de cette intrusion chez elle.

Elle me regarda dans les yeux, elle ne riait plus. Cela me fit un peu peur. Depuis que l’on avait parlé dans cette salle de classe, j’avais peur quand elle allait me dire quelque chose de sérieux. Parce que c’est ce qu’elle allait faire. Ca pouvait être tout à fait quelque chose de banal mais je me préparais au pire ; C’était idiot mais on ne sait jamais ce qui va vous tomber dessus. « Dis Caleb, j'ai pensé à quelque chose … Tu ne voudrais pas rester ici ce soir? Je sais, ça doit te surprendre et je me surprends moi même, mais après tout … Tu m'as déjà prouvée bon nombre de fois que je pouvais te faire confiance et ça doit faire bien longtemps que je n'ai pas dormi à tes côtés ... » Je fus un peu déconcerté par ce qu’elle vannait de me demander. Il est vrai que d’habitude je ne restais jamais chez elle après 8 heures du soir, par respect. J’avais toujours du mal à partir mais pour faire moins idiot j’essayais toujours de trouver quelque chose que je devais faire et qui expliquait que je devais absolument partir bien qu’à chaque fois j’espérais qu’elle me demande de rester encore un peu mais elle me laissait chaque fois partir. Je restais avec un air un peu con pendant quelques secondes avant que je me rends compte qu’il fallait que je réponde. « Heu… Tu es sure ? » Maintenant, c’était moi le sceptique. Je ne savais même pas quel dose de courage, il lui avait fallu pour me demander ca mais je ne voulais pas la forcer et surtout je ne voulais pas qu’au soir, elle commence à paniquer. Et je ne voulais pas non plus avoir de faux espoirs. Mais je me rendais compte que ma réponse était vraiment idiote et qu’elle pouvait croire que je n’en avais pas envie. « Enfin, je ne voulais pas dire ca. Mais je peux simplement dormir par terre ou dans le divan, cela ne me dérange pas. Je ne veux pas que tu te sentes forcer. Pour moi, le principal c’était que tu ailles bien. » Je fis une légère grimace. Je n’étais pas vraiment doué pour les choses aussi délicates.

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Je n’étais vraiment pas doué pour ca vu la tête qu’elle m’a fait. Pourquoi faut-il que je bousille toujours tout. J’étais vraiment mal. Elle me montrait enfin quelque chose. Cela faisait des semaines que je voulais qu’elle me le montre même si je ne voulais pas qu’elle le sache. Et puis les mots pour me tuer sont arrive. « Laisse tomber Caleb, j'ai compris. Finalement autant être seule ce soir. Je vais m'habiller, je me dépêche. » J’étais vraiment dans la merde. Je m’en voulais. J’étais vraiment le mec le plus con de la terre. La fille que j’aimais me montrait qu’elle n’avait plus peur et moi je refusais. Et ce n’est pas comme si je n’en avais pas envie. Je restais assis sur mon cul au pied de son lit alors qu’elle s’était déjà levée et partie dans la salle de bain. « Je suis désolé. » Je ne savais pas quoi faire Je l’avais déçu, terriblement déçu. Je ne voulais pas cela. Mes mots ont dépassé ma pensé comme souvent mais là ca avait vraiment fait des ravages. Je me levais et pris ma veste. Je savais que je devais partir avant même qu’elle me le dise. J’avais entendu au son de sa voix qu’elle ne voulait plus me voir, même une peinture de moi lui aurait fait passer une très mauvaise journée. « Tu ferais mieux de partir maintenant. J'ai des tonnes de trucs à faire … » Je m’en doutais. Je n’avais rien d’autre à faire, je ne voulais pas contester. Elle avait raison. J’essaierais de revenir dans trois semaines quand elle m’aura pardonné de l’avoir repousser. Parce que c’est ce que j’avais fait sans le vouloir mais je l’avais fait et maintenant, je l’avais fait souffrir. J’enfilai ma veste sans la regarder de peur de croiser son regard. J’ouvris la porte de sa chambre. Mais je me retournai vers elle, je n’avais plus aucune chance. « Il y a des pains au chocolat sur la table. J’ai cru que ca te ferais plaisir. » Je lui fis un petit sourire puis passai la porte et regardai ce paquet où j’avais écris que je l’aimais. Enfin, ca n’avait pas d’importance aujourd’hui. Parce que la surprise était tombée dans l’eau. Plouf.

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J’avais espéré qu’elle renonce et qu’elle me demande de rester. Elle l’avait fait. Elle était revenue. Elle ne m’en voulait donc pas autant que ce que je croyais. Je souris simplement en faisant demi-tour pour retourner dans sa chambre. Cela me faisait plaisir, je ne voulais pas passer une journée à m’en vouloir et en m’interdisant de lui envoyer un seul sms parce que je savais que je voudrais le faire pour m’excuser encore et encore jusque quand elle accepterait de m’excuser. Je m’assis sur son lit bien sagement pas trop près ni trop loin d’elle. Comme d’habitude. J’étais presque gêné d’être dans sa chambre, d’être sur son lit. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais comme ca. Moi qui étais toujours au plus près des gens moi qui me sentais à l’aise partout. C’était cette histoire, j’avais toujours détesté les sujets tabous. Et c’est pour ca que je me sentais aussi mal parce que j’avais peur de faire quelques chose qui lui fasse revivre ca même si maintenant ca faisait deux ans. Et dans ma tête quand elle était là c’était toujours la même question « qu’est ce que je dois faire ? » C’était peut être pour ca qu’entre nous ca n’allait pas plus loin. Enfaite, c’était peut être juste moi qui bloquait. « Raphaël, c’est de ma faute. Je sais que tu fais des efforts et je sais a quel point c’est dur pour toi. Mais je suis perdu. Je ne sais pas quoi faire et j’ai peur, peur de te brusquer et de te perdre à nouveau. Je ne veux pas vivre sans toi. Mais je n’arrive pas à vivre avec toi. » Je baissais la tête. Je me sentais nu. Saloperie d’ego masculin. Je serrais doucement mon poing. Je relevais la tête. « Aide-moi. » Raphaël était mon point faible, un énorme point faible. Ma vie entière reposait sur elle. Si je devais à nouveau la perdre, je crois que tout l’alcool et toutes les filles de Las Vegas n’y changeront rien.

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Je me laissais faire et puis ce n’est pas comme si je n’aimais pas ca. Cela faisait tellement longtemps, bien trop longtemps. Je n’osais jamais la prendre dans mes bras. Et là, elle venait d’elle-même. Je la serrai doucement contre moi mais elle était libre de partir à tout moment si elle en avait envie. Je ferais les yeux deux secondes puis les rouvris pour être sur que je ne dormais pas. Elle était bien là. Je ne rêvais pas. C’était bizarre comme les rôles s’inversaient. Puisque c’était moi avant qui promettait de changer, de faire attention à elle, et c’était elle qui avait besoin de soutient. J’avais l’impression de faire mon enfant gâté qui faisait un caprice mais cela faisait combien de temps que j’étais heureux de l’avoir retrouvé sans avoir l’impression d’être avec elle. C’était un demi bonheur. Alors oui, j’en avais peut être un peu marre et oui j’aimerais autre chose mais je n’arrivai pas à le dire. Elle avait vécut des choses tellement horrible. Je ne pouvais pas la forcer à revenir directement vers moi. Parce que après tout j’étais aussi son passé. Si ca tombe, sans le vouloir je lui rappelais de mauvais souvenir. Je ne pouvais pas savoir ce qui se passait dans sa tête. Ca doit surement ressembler à Tripoli à l’heure qu’il est. J’aurais voulu atténuer la douleur des bombes et faire le SAMU pour les blesser mais je tirai à la mitraillette avec les yeux bandés. Et je ne savais pas aussi bien parler que Shakespeare. « Heu.. » Parce que ca c’était d’un romantique. Je n’arrive pas à commencer des phrases par autre chose que heu quand je suis un peu pris au dépourvu. « Je pense que l’amour est suffisant pour que deux personnes qui s’aiment reste ensemble. » Je remis une de ses mèches derrière sinµµon oreille et je souris. Un sourire pouvait tout dire. Enfin j’espérais parce que je n’arrivais à exprimer ce que je pensais que de cette façon. « Je t’aime aussi Raphaël Alexia Tomhson, plus que jamais. » Je passai doucement mon doigt sur son bras. Le silence s’installa dans la pièce. Je posai un baiser sur le dessus de son crane. « Tu m’as manqué. La sensation de ta peau sur la mienne m’a manqué, ton odeur m’a manqué, ta voix m’a manqué, les longues conversations avec toi m’ont manqué. » Je fis une légère moue. Les moments comme ceux-ci étaient rares à mon plus grand plaisir puisque je ne savais toujours pas me comporter. Dans un petit rire, je lui dis. « C’est quand même incroyable l’influence que tu as sur moi. » Il fallait que je rende l’atmosphère un peu moins pesante.

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L’effet qu’elle me faisait, je ne parlais pas de l’effet que faisaient toutes jolies filles à un mec, je parlais de l’effet qu’elle me faisait elle, rien qu’elle, celle qui faisait battre mon cœur, celle qui m’avait empêché d’étudier même sans qu’elle soit présente parce que son image est incrustée dans ma tête. Je ne m’imaginais pas sans elle et cela depuis quelques années maintenant. C’était pour ca que je lui avais demandé de m’épouser. J’ai toujours gardé une bague avec moi, sur une chaine. C’est un simple anneau mais je me disais que je pourrais la demandé en mariage à n’importe quel moment. J’avais toujours bien sur la bague qu’elle avait eu quand je l’avais fiancé la première fois, elle se trouvait dans ma commode, j’avais peur de la perdre. Je l’avais encore vu aujourd’hui en rangeant. Je me demandais si un jour j’aurais l’occasion de l’épouser. Si on irait vraiment voir un jour, un prêtre. Pour certaine personne le mariage ne rime à rien, ca ne prouve rien. Pour moi, c’était la preuve que je voulais vivre ma vie avec elle. Cette idée ne m’était jamais sortie de la tête depuis que je la connaissais. Ce que je ressentais pour elle n’était pas une chose anodine. C’était tellement fort. Et même quand elle n’était pas dans ses bons moments, je l’aimais toujours autant. Mais quand elle disait que ce serait mieux pour moi, est ce que elle se sentirait bien. Je ne veux pas la voir mal à l’aise ou qu’elle se sente obligé. On peut y aller petit à petit. J’avais si peur pour elle. J’aurais aimé savoir qui lui avait fait ca pour voir quel imbécile avait réussis à la détruire à ce point. Au début, je croyais que tout allait recommencer comme avant mais j’avais vite compris qu’elle ne s’en était toujours pas remise. Mais tant pis, le principal était qu’elle sache que je l’aimais et que ca durerait toujours. « Tu vas devoir me supporter encore un long moment alors parce que je ne suis pas encore prêt à te laisser partir. Je ne te laisserai jamais. Tu es mon petit ange, je peux pas vivre sans toi !» Je passai toujours mon doigt sur son bras, allant parfois jusque dans son cou. Je posai un bisou sur son épaule. Et c’est à ce moment là que je compris ce que je devais faire. « Heuu… Attend ! » Je la déplaçai doucement pour me mettre au pied de son lit. Je sorti ma chaine, l’enlevai et pris la bague. « Raphael, j’ai déjà fait ca une fois, la première fois c’était facile, on avait facile mais si je te le demande aujourd’hui c’est pour te prouver que je t’aime et malgré les bas je te désir toujours autant, je veux toujours autant même peut être plus que la première fois, vivre avec toi. Désires-tu m’épouser ? » Je laissai un blanc mais très court car je voulais rajouter quelque chose. « Cette demande, ce n’est pas pour t’épouser tout de suite, j’attendrais deux ans. Je veux avoir un engagement avec toi. Tu es mon âme sœur, je le sais, j’en suis sur. On se mariera un jour, j’en suis sur. » Je fis une légère moue. J’avais peur qu’elle dise que c’était trop tôt. C’est surement vrai et je comprendrais.