Je suis pas gay. Je vous le jure. Je suis hétérosexuel aussi vrai que je suis Argentin. Et Diego sait a quel point je tiens a ma nationalité. Enfin bref. Le truc, c'est que je me dit homo, car les filles ont tendances à me coller d'un peu trop près. C'est vrai que les danceurs, c'est moins commun que des danseuses. Donc, depuis que je suis petit et que je danse, bah j'ai 15 filles à mes pieds. Enfin, j'avais. Ici, j'espère que ça sera plus pareil car je vais pas être le seul énergumène masculins merde. Dans tout les cas, j'ai pris l'habitude de me coller cette orientation sexuelle. Le seul problème, c'est qu'il vous donnez un peu de consistance à cette rumeur. Et c'est pas en matant les filles que je vais y arriver. Il me fallait un cible. Et ce fut lui. Tout a commencé quand j'étais avec une fille un peu trop collante. J'ai regarder ce garçon avec insistance pendant qu'elle me parlait, histoire de bien lui faire comprendre que je préférait les gars. Je crois qu'elle a compris le message, vu qu'elle est jamais venu me reparler. Enfin bref, dans tout les cas, je suis resté sur ce gars : Preston. J'essaye un peu de le draguer en douce quand y'a du monde, ou plutôt une pot de colle. Ça arrive de moins en moins souvent. J'espère juste qu'il joue pas dans ce bord là, ça serait triste de lui brisé le coeur quand même...Héhé !

Hahaha. Mon meilleur ami. Toujours là pour faire le gai pendant les soirées trop chargé en filles !

Under Construction

J'ai connu cette fille il y a pas bien longtemps. On peut pas franchement dire que le courant est passé. En faite je crois qu'elle a eu peur de moi. Une célébrité du monde musicale était venu à l'école, et un petit groupe d'élève était convié a venir le rencontrer. Enfin plutôt à l'écouter parler en étant posé sur une chaise. Donc j'en faisait partie et elle aussi. Je suis arrivé, je me suis installé au fond. La salle s'est rempli, et il restait plus qu'une place à coté de moi. J'avais pris mon air pas aimable pour que personne n'y vienne d'ailleurs, et je pensais avoir réussit à me libérer d'un potentiel voisin un peu trop lourd. Jusqu'à ce qu'elle arrive. Elle m'a regarder comme si j'étais le pire des criminels mais a finit par s'assoir à ma gauche. Bon évidemment, j'ai tiré la gueule. Mais elle, elle était crispé. Je crois qu'elle a cru que j'allait la tué. Donc en faite ça m'as fait rire. J'ai essayé de lui parlé, et elle à régit comme si je venait de lui demandé de faire une danse en montant sur la table. Vous voyez le genre ? Pourtant je lui avait juste demandé son prénom. Elle a déserrer les dents pour me répondre, mais j'ai bien vu que ça lui faisait pas franchement plaisir que je le sache. Alors pour lui faire peur, j'ai pris mes yeux de pervers et j'ai pas arrêter de la regarder. Je crois que depuis, elle a horreur quand je fais ça. Personnellement, je m'amuse, et cette fille elle est franchement bizarre. Je vais pas la bouffer merde ! Enfin bref. On va dire que c'est pas le grand amour, mais moi, elle me fait bien marrer.

Sérieusement, je connais pas plus bordélique que cette fille. C'est une horreur. Partout où elle passe, elle fou le dawa. Une tornade. Heureusement que je me suis acclimaté, sinon je serais déjà passé par la fenêtre. A vrai dire je sais pas si c'est une chance ou une plaie de vivre avec elle. Mais d'un autre côté je suis content de l'avoir connu. Puis partagé une chambre avec elle c'est plutôt délirant. Enfin au début je tirais une gueule pas possible. Faut dire que ça surprend. Parce que moi, j'avais pas choisi de l'avoir comme colocataire. Ni elle non plus. C'est juste à cause d'un problème de gestion. Je sais pas si je dois remercier le logiciel foireux qui s'est craqué au niveaux des chambres, ou bien jurer la mort de son créateur. Tout compte fais, je venait d'arrivé, et je me suis vu inscrit dans la même chambre qu'elle.. Sauf que quand j'ai poussé la porte bah...Bagdad. Elle a buter sur une chaussure et un tas de fringues trônait devant moi. C'est pas que je suis maniaque d'habitude, mais un peu quand même. Alors j'ai gueuler. Je suis rentré, j'ai shooté dans un bloc note ( Qu'on a jamais retrouvé soit dit en passant. Faut dire aussi qu'on l'as jamais chercher, mais quand même, c'est troublant ). Donc elle, l'air pas concerné du tout, elle m'a demandé ce qu'il se passait. J'ai laissé tombé mes sacs à côté de moi puis j'ai désigner tout le foutoire qu'elle avait mit. Sur le coup, j'avais envie de tout lui faire bouffer et de délimiter une partie de la chambre pour moi et l'autre pour elle. Elle a regarder par terre, a haussé les épaules, et a dit que c'était normal avant de s'allumé une clope. J'ai fais la tronche un moment. J'avais beau lui répéter, rien n'y faisait. Alors j'ai laissé tombé, et j'ai pris sur moi même. Il n'y avait plus rien a faire. Même lui balancer chaque fringue que je trouvait en pleine face n'arrangeait rien. J'ai finit par m'habituer a trouver des sous vêtements sur mon lit. Pour me vanger, j'ai commencé a m'étalé aussi. Donc notre chambre à ce moment là, c'était le Vietnam. D'ailleurs c'est encore, et ça sera toujours. Que voulez vous ? Cette fille me fait chier, et je lui rend bien. Mais on s'aime quand même. Ah, c'est pas beau la colocation ?

Oh mon dieu. J'adore cette fille. Mais elle je crois qu'elle me déteste. Surtout quand j'ouvre la bouche pour dire quelque chose. Faut dire que je l'épargne pas. J'aime bien, c'est sympa. Ça me détend, mais elle ça lui fou un stress pas possible. C'est juste trop drôle. En faite tout a commencé il y a un petit bout de temps, lors d'une session d'examen d'entrée pour l'école. On attendait dehors, dans le froid, tout le monde avait une boule au ventre. Des gens était venus en petit groupe, d'autre seul. J'étais debout, comme un gland. Alors je l'ai vue, elle était assise sur un muret. Je me suis approcher, on a discuté. Puis, pour essayer de faire passer mon stress, j'ai commencé à la charrier. Au début c'était gentil, et puis au fur et à mesure elle me renvoyait boulé aussi. Sauf que je me démerdait toujours pour être gagnant. Enfin bref, au bout d'un moment, je l'ai regarder et je lui ai dit " De toute façon, tu vas te planter ! ". Elle m'a fait comprendre que j'étais une ordure, alors je lui est dit qu'elle était la plus belle femme que j'ai jamais vu. Je commençais tout juste à la faire tourner en bourrique quand il nous ont demander de rentré. On s'est séparé à ce moment là. On s'est revu quelques heures après. Ca a donner ça :
« Oh Athéna, ma déesse! »
« T'es qu'une ordure Roca! »
« Je sais que je te plais miss je suis parfait alors la ferme! »
« NON MAIS TU SAIS QUOI? VAS TE FAIRE FOUTRE!! »
« Jamais sans toi bébé !!! »
« AAAAAARG!! »
Non vraiment, j'adore cette fille. Surtout quand elle s'énerve.

Cette fille, je l'ai connu au début du semestre. On suit les même cours, et elle brune aux yeux claires, je pouvais pas la louper. J'ai jamais voulu lui parler spécialement, je la trouvais mignonne, mais je le criais pas sur tous les toits pour évité de noyé ma réputation de gai. A vrai dire, on a surtout fait connaissance durant les cours de danse. On se regardait vaguement, et j'ai bien vu qu'elle dansait bien. Même très bien. Une professeur nous a mit en duo un jour. Et puis on est resté comme ça. Le binôme de cette année. Jamais l'un sans l'autre pour les duos ou les évaluations, nous sommes un des couple danseur le plus repéré par les professeurs, et tant mieux d'ailleurs.

Une ex de vacances, c'était bien, c'est vrai...

La demoiselle a frappé a la mauvaise porte. J'étais dans ma douche, et je croyais que Anya avait encore oublié ses clés. Je suis sortie en galère, et j'ai passer une serviette autour de ma taille, pour éviter de dégouliner. Ça a pas éviter grand chose, on pouvait suivre ma trace grâce au goute d'eau que je laissait derrière. Bref j'ai ouvert la porte a moitié nue et tout trempé. Je suis rester con un instant, pendant qu'elle faisait les gros yeux. Elle a bafouiller un truc puis a fait demi tour. Ah les femmes !

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