Comment décrire ce que je ressentais en ce moment ? Je sortais avec Michael depuis quelques heures à peine, et voila que j’allais déjà passer la nuit avec lui. Je n’avais jamais fait quelque chose aussi vite que ça. C’était comme faire du saut à l’élastique sans élastique, enfin à peu de chose près. C’était flippant quoi. Et depuis que j’avais mis les pieds dans sa chambre, je n’avais pas arrêté d’avoir des images peu catholique dans mon esprit. C’est pourquoi je m’étais barricadé dans la salle de bain de mon nouveau petit ami. Je pensais que prendre une douche me ferait du bien, mais après l’avoir pris, je m’étais rendu compte de quelque chose de très important : Je n’avais rien à me mettre pour la nuit. Je restais longtemps planté là, face au miroir qui se trouvait dans la salle de bain, la serviette de bain bien enroulée autour de mon corps. J’étais complètement paralysé, à vrai dire. J’essayais de convaincre mon corps de bouger, pour sortir de la pièce et aller demander à Michael s’il n’avait pas quelque chose à me prêter, mais sans succès. Il faut dire qu’être habillé uniquement d’une culotte et d’une serviette de bain ne m’aidait pas. Je pris une grande inspiration. Je devais le faire, Michael n’allait pas me manger enfin ! Et puis en me voyant dans cette serviette de bain il ne penserait pas forcement à me l’arracher… Pas vrai ? Je souris à mon reflet, ce que je pouvais être ridicule par moment ! Je me dirigeais donc vers la porte et l’ouvris.

— Michael tu aurais un t-shirt pour moi dormir cette n... Débitais-je très vite avant de m’arrêter net en voyant que l’interpellé ne portait plus que son jean noir.

Immédiatement, ma bouche devint aussi sèche que le désert du Sahara. Il était dos à moi, et lorsqu’il se retourna je restais un long moment paralysé de nouveau. Je sais que je n’aurais pas du, mais je n’arrivais pas à lâcher du regard ce corps si parfait. Mon poul s’accéléra, et je resserrais un peu plus ma serviette contre moi, comme pour me protéger. Je comptai jusqu'à trois dans ma tête puis levai les yeux vers ceux de Michael. Grossière erreur. L’incendie qui se faisait sentir dans mon bas ventre se rependit dans tout mon corps. Il fallait que je baisse les yeux immédiatement, ce que je ressentais là était bien trop rapide. Et pourtant j’espérais quand même qu’il réduise cette distance qu’il y avait entre nous. Je ne me reconnaissais presque plus, toute ces images qui défilaient dans ma tête, et toute ce que je ressentais en ce moment même… Ce n’était pas quelque chose dont j’avais l’habitude. C’est à ce moment là que je compris à quel point j’étais perdu.

Quand au début j'avais invité Alexie à venir dormir avec moi, j'avais d'abord vu cela comme une sorte de blague, pour détendre un peu l'atmosphère. Mais quand elle avait accepté, je pouvais plus me rétracter. Donc j'avais pensé dormir avec elle en tout bien, tout honneur. C'est-à-dire que nous aurions simplement dormi. Je sortais avec Alexie depuis seulement quelques heures et je ne pensais pas à coucher avec elle. Pas déjà j'étais un homme tout à fait correct. Mon père m'avait élevé dans cette optique et je n'aurais jamais pensé que la jolie photographe serait aussi intimidé de venir dans ma chambre de solitaire.

Depuis qu'elle s'était barricadé dans la salle de bains, j'avais pris mon mal en patience et j'avais joué quelques accords sur ma guitare. Elle était pas vraiment accorder au début, alors je pris mon accordeur et je réajustais les cordes pour qu'elle sonne juste. après cela je recommençais à jouer. Je jouai un petit morceau de Billie Joel, un morceau des plus beaux du répertoire du new-yorkais. Après cela je reposais ma guitare voyant que la belle demoiselle ne voulait pas sortir je profitai de ce court moment de répit pour me changer et passer un tee-shirt plus convenable. J'ôtais donc le mien et le mis dans la panière de linge sale. Le nouveau était d'un gris pâle et assez serré aussi.

J'allais l'enfiler quand Alexie me parla. Je me retourna donc pour être surpris en la voyant en serviette. Je baissai rapidement les yeux et je rougis de voir ma petite amie aussi tôt dans cette tenue, en plus, en la voyant ainsi j'avais eu envie de lui enlever cette serviette, bien que ce n'était pas correct. Je dis doucement en relevant doucement les yeux, après tout je n'allais pas faire le timide car je voyais ma petite amie dans cette tenue, il faudrait bien que tôt ou tard je la vois ainsi.

"Si tu veux, tu peux te servir, il y a tout ce qu'il faut dans la penderie ici."

Je lui cédais la place pourtant je ne bougeais pas, j'avais comme envie qu'elle me rejoigne que nos corps se rapprochent. Mais en même temps j'avais peur de ce qui risquait de se passer si je faisais ça. En fin de compte, je préférais réduire moi-même la distance. Je fis d'abord un pas, mais ce pas me fit l'impression de durée une éternité et surtout mon pied semblait aussi lourd que du plomb. Au passage je chopais un tee-shirt au hasard. C'est le tee-shirt des Sex Pistols qui fut choisi. Je m'approchais de la belle brune et je lui tendis le tee-shirt en me penchant vers elle. Juste avant d'atteindre ses lèvres je dis doucement.

"Tu es vraiment magnifique Alexie."

Après ces mots, mes lèvres rencontrèrent celles de la jeune femme dans un délicat baisé que je voulais prolongé le plus possible. Finalement je passai délicatement une main sur le dos d'Alexie pour la rapprocher de moi et en lâchant le tee-shirt au sol je passais cette fois-ci mon bras pour la serrer un peu plus contre moi. Petit à petit que je la rapprochais de moi, je prolongeais mes baisers pour qu'ils soient de plus en plus longs.

- Si tu veux, tu peux te servir, il y a tout ce qu'il faut dans la penderie ici.

En le voyant baisser les yeux, j’avais été très surprise, et encore plus gênée de savoir que lui aussi l’était. Mais il avait fini par relever les yeux pour me dire cela. Au moins l’un de nous deux semblait se contrôler un peu mieux que l’autre. Et ce n’était pas mon cas du tout ! Je n’avais pas encore bougé, et je pensais que j’allais bientôt prendre racine si je restais figé là encore un moment. En voyant que Michael ne semblait pas non plus prêt à se bouger, je pensais que j’allais devoir aller jusqu'à lui et son placard. Mais finalement il mit un pied devant l’autre pour se rapprocher de moi. A chaque pas qu’il faisait, mon cœur bondissait un peu plus fort dans ma cage thoracique. Je le vis à peine prendre un t-shirt en passant devant son placard, trop occupé à fixer ce corps parfait s’approcher de moi. J’avais déjà remarqué que sous ces vêtements, Michael était assez baraqué. Mais jamais à ce point ! Mes mains étaient moites et me démangeaient tellement je voulais les poser sur la peau de Michael. Mais je restai cramponné à ma serviette comme un naufragé s’accroche à sa bouée de sauvetage. Lorsqu’il se pencha vers moi en me tendant le t-shirt, je frissonnai mais ne bougeais toujours pas. Il allait m’embrasser, je ne voulais pas risquer de briser ce moment.

- Tu es vraiment magnifique Alexie.

Je n’eus même pas le temps de penser à quoi que ce soit que déjà ses lèvres attrapaient les miennes. Mon sang devint aussi bouillant que de la lave, surtout aux endroits où il me touchait. J’oubliai ma serviette et nouai mes bras autour du cou à Michael pour approfondir le baiser qui devenait de plus en plus intense à chaque seconde. Je me retrouvais vite serré entre ses bras puissant et contre son torse musclé. J’avais l’impression de fondre de l’intérieur, et que mes jambes allaient céder d’un instant à l’autre. Je ne me rendais pas compte que j’essayais de me coller encore plus fort contre son torse en enfouissant mes mains dans ses cheveux. Tout ce qui comptait à cet instant était l’effet dévastateur qu’avait ce baiser sur moi. Quand un petit gémissement m’échappa, je lâchais les lèvres de Michael et baissait les yeux. Je pensais mettre un frein brutal à mon ardeur puis me ravisait. S’arrêter maintenant serait insupportable. Alors, timidement, je fis glisser ma serviette de bain le long de mon corps doucement avant de la laisser finalement tomber sur le sol. A ce moment je relevai les yeux pour regarder Michael et posai une main sur sa nuque pour l’attirer vers moi l’embrasser pour faire en sorte de ne plus voir ce regard fiévreux qu’il avait posé sur moi quelque seconde auparavant. Ce regard qui m’aurait fait perdre la tête en moins de deux. De ma main libre, je caressais doucement son tors pour suivre les contours de ses muscles jusqu'à arrivé à sa chute de rein. Je savais que maintenant nous savions tout les deux ce qui allait se passer et pourtant je ne pouvais pas encore m’attaquer a son jean pour lui élever. Par timidité peut-être, ou aussi par peur d’être prise pour une fille trop facile. Je me contentais donc de me coller de nouveau à lui. Sentir notre peau se toucher de cette manière me faisait presque perdre le contrôle de moi-même.

Je ne pus m'empêcher d'embrasser Alexie quand je fus juste devant elle. Je m'étais pourtant juré de ne pas y aller trop vite. J'avais promis d'être sage car nous ne sortions ensemble depuis quelques heures. D'ailleurs, je ne pensais qu'à l'embrasser pour le moment. Mais quand elle passa sa main dans mes cheveux, je sus que toute ma résolution d'être patient venait de fondre comme neige au soleil. Je ne pourrais plus faire machine arrière et je ne pourrais plus stopper cet engrenage devenu fou. Si j'arrêtais maintenant brutalement le mécanisme, il se briserait aussi sec.

Tandis que j'embrassais Alexie, elle retira sa serviette qui glissa le long de son corps pour rejoindre le sol en un petit tas en forme de croissant. Mes bras passés dans le dos de la belle brune entrèrent en contact avec sa peau désormais nue et un long frisson de désir envahi mon corps. avec un amour infini, je la regardais quelques secondes avant de l'embrasser de nouveau. Je entais mon corps être envahi par un désir puissant et sauvage. Un désir impétueux, tandis qu'elle caressait mon torse de ses mains douces et langoureuses. Finalement, avant qu'elle n'atteigne mon pantalon, ses mains se glissèrent dans mon dos et je la serrais un peu plus contre moi. L'une de mes mains quitta son dos pour venir doucement caresser son ventre et sa poitrine. Mes lèvres quittèrent les siennes avant de rejoindre quelques secondes plus tard son cou que je goutais avec une douceur infinie.

Pendant que je l'embrassai dans le cou, je la guidai vers le lit qui était derrière elle. en marchant doucement, nous arrivâmes au pied du lit et délicatement, je l'aidai à s'allonger en douceur. Une fois qu'elle fut allongé, je commençai à couvrir le reste de son corps de baiser, en passant d'abord par sa poitrine, j'y allai tout en douceur. Tandis que mes lèvres goutait doucement les seins d'Alexie, mes mains caressaient délicatement ses cuisses.

Savoir que nous allions faire l’amour me stressait comme si c’était ma toute première fois. C’était notre première fois à nous deux, et je voulais que cela soit parfait. Peut-être un peu trop, d’ailleurs. Me retrouver avec, en tout et pour tout, une simple culotte devant Michael me rendait nerveuse. Je n’avais pas beaucoup de forme, j’étais même plutôt maigrichonne. Mais sentir sa main parcourir mon ventre et ma poitrine alors qu’il embrassait mon cou, me redonna un peu de confiance en moi. Je me sentais désirable. Je me sentais…Femme. Et plus que tout : je le désirais lui. Le feu de mon bas ventre qui s’était répandu dans tout mon corps s’intensifiait de minutes en minutes, pour ne pas dire de seconde en seconde.

Puis sans que je sache comment, je me retrouvais allongé sur le lit. J’étais tellement perdu dans les sensations que me procuraient les mains et la bouche de Michael que je n’avais pas fait attention qu’il nous avait emmenés sur le lit. En sentant sa bouche parcourir ma peau, je frissonnais et mordillais la lèvre inferieur. Et quand il s’arrêta sur ma poitrine, mon cœur rata un ou deux battement. Je ne savais pas que j’étais aussi sensible à cet endroit… Enfin, je ne le savais pas jusqu’à maintenant. Je profitais encore de tout cette vague de sensation divine qui s’abattait sur moi grâce aux baiser et aux caresses de Michael, puis attirai ce dernier à moi pour l’embrasser sans retenue. Je parcourrai de nouveau son torse de mes mains mais en arrivant à son pantalon cette fois ci je le déboutonnais avec des gestes presque fébriles. A cet instant j’avais envie de lui plus que jamais. Et je savais que lui aussi. Mais je ne voulais pas que l’on accélère les choses pour autant. Je voulais juste me débarrasser au moins de ce jean, pour le moment. Jean qui fini en deux temps trois mouvement à terre.

Voir Michael dans toute sa splendeur masculine, avec un dernier sous-vêtement, tout comme moi, me troublait au plus au point. L’incendie de tout à l’heure revint en force dans mon bas ventre, et j’aurais pu hurler tellement j’avais envie de lui à cette instant. Est-ce que cela était bien, de le faire si vite ? Oui, non. Peut importe. Je m’en foutais.

— Toi aussi, tu es magnifique, Michael. Murmurais-je, la voix enroué par l’émotion.

Je me redressais doucement pour pouvoir embrasser la peau lisse de son torse. Je me permis même de mordiller doucement un de ses pectoraux. Que m’arrivait-il ? Je n’avais encore jamais fait ça, et cela me fis rougir. J’embrassais doucement la zone que je venais de mordre puis repris ma descente en laissant parfois des traces humides sur la peau de Michael à mon passage. Et en arrivant à son nombril, je fis le chemin inverse et remontait jusqu’à la mâchoire de Michael que j’embrassais de long en large avant d’aller de nouveau embrasser ses lèvres.

La sensation de désir et de plaisir qui brûlait en moi me faisait presque mal, mais je voulais la ressentir car cela montrait que j'étais bien en vie. Parcourir de baiser et de mes caresses le corps d'Alexie me donnaient une étrange sensation de bien-être comme si tout ce temps passé à serrer la main de la photographe dans la mienne m'avait été qu'un prélude à ces délicats baisers sur la peau pâle de la jeune femme. Quand je remontai pour embrasser de nouveau les lèvres d'Alexie, elle m'ôta mon jeans. Ce fut ensuite à son tour de parcourir mon torse de baiser, je ne sentis qu'à peine ce mordillement car je sentais le corps chaud de la belle brune sur mon corps et cela me procurait du plaisir.

Je restais un long moment à embrasser ses lèvres douces et pleines tout en lui caressant le dos. Jamais de ma vie j'avais tellement eu envie de faire l'amour avec une femme. Jamais je n'aurais cru succomber aussi vite à cet appel impérieux de ne faire qu'un avec une femme. Doucement, je repris le dessus et fit rouler doucement Alexie sous moi pour me retrouver au-dessus. Tandis que mes lèvres recommencèrent une lente descente vers le ventre de la jeune femme, mes mains glissèrent lentement sur ses cuisses et sur son entre-jambe que je caressai délicatement à travers le sous-vêtement. Mes lèvres continuèrent lentement leur inexorable descente vers l'intimité de la jeune femme. Cette fois-ci, je n'arrêtai pas mes baisers au nombril de la jeune femme avant de remonter. Je commençait doucement à descendre plus bas. Arrivé à l'élastique du l'ultime rempart à la nudité d'Alexie, mes lèvres passèrent doucement dessus et j'embrassai le tissu, même si je savais que la jeune femme les ressentait quand même.

Mes mains remontèrent et deux doigts se glissèrent doucement sur le côté de sa culotte. Puis doucement en emportant le tissu, mes mains redescendirent. Je finis par jeter le tissu, alors qu'Alexie se trouvais nue, son intimité exposé à mes lèvres qui l'embrassèrent délicatement. toujours avec cette douceur, j'écartai les cuisses d'Alexie pour pouvoir glisser mes lèvres sur l'intimité ainsi exposé de la jeune femme. Tout doucement ma langue commença son œuvre tout en douceur.

Lorsque Michael avait repris sa place au dessus de moi et avait commencé à m’embrasser, j’avais deviné que les choses sérieuses allaient commencer. Mais je n’avais jamais imaginé que ça serait aussi… intense. Il avait déjà embrassé ma peau un peu plus tôt, mais il n’était pas descendu plus loin que mon nombril. Alors lorsque je sentis sa bouche descendre plus bas, toujours plus bas, j’arrêtais de respirer, et mordit ma lèvres lorsque je sentis ses lèvres à travers le tissus. Dieu ! Jamais personne ne m’avait embrassé si… intimement ! Pire que tout : je voulais qu’il recommence. Je devinais à la bouffé de chaleur qui m’envahi que je devais être aussi rouge qu’une tomate. Etait-ce dût la gêne ou le désir ? Probablement les deux. J’avais envie de me tortiller dans tout les sens et de supplier Michael de me faire l’amour maintenant, sans ménagement. Mais en sentant les mains de mon petit ami retirer mon dernier sous vêtement, j’arrêtais de respirer une fois encore. Une gêne sans pareil s’empara de moi, et je m’apprêtais à dire à Michael de ne pas faire ce qu’il allait faire, mais il fut plus rapide, et déjà ses lèvres touchait mon intimité. Un hoquet de surprise s’échappa de mes lèvres. Toutes pensées avaient déserté mon esprit, c’était à peine si je me souvenait de mon propre prénom ! Il ne restait plus que la sensation de la langue de Michael sur moi. Je me cambrais en arrière tout en m’accrochant aux draps le plus fort possible tout en gémissant le prénom de mon petit ami. J’avais peur de basculer en sentant toute ces vague de désir me submerger, je ne voulais pas que cela se termine si vite. Alors je tentais de demander à Michael d’arrêter, mais je me retrouvai bien vite à le supplier de continuer tout en me tortillant sur les draps. Que m’arrivait-il ? C’était si gênant de savoir qu’il avait sa tête… là. Et pourtant j’adorais toute cette ribambelle de sensation qu’il me faisait découvrir, à tel point que j’étais à bout de souffle, comme si je venais de piquer un sprint.

—Michael s’il te plait… Viens. Michael… je… je te veux en moi. Réussis-je enfin à dire, même si le terme gémir était plus exact.

Je réussi à mobiliser tout mon corps pour me redresser et forcer Michael à revenir vers moi. Je rougis en me remémorant ce qu’il venait de me faire, puis l’embrassait comme si ma vie en dépendait. Une partie de moi aurait voulu lui demander de recommencer ces baisers si intimes, mais ce n’étais pas ce que je voulais, moi. Je lui enlevais son dernier sous vêtement à la hâte. Je voulais qu’il soit aussi nu que je l’étais. Je ne voulais plus de barrière. Je le voulais lui, tout court. Je détachais mes lèvres des sienne, prête à le supplier une nouvelle fois de venir en moi pour de bon. Je savais qu’il me désirer, mais le voir son désir me rendit soudain nerveuse. Je me sentais absolument incapable de lui faire ce qu’il venait de me faire, mais je pouvais toujours le toucher. Alors doucement, je tendis ma main vers sa virilité pour le caresser délicatement, pour lui rendre le plaisir qu’il m’avait procuré. Puis je plongeai mon regard dans celui de Michael et frémis en voyant son désir dans ses yeux. C’était quelque chose de particulièrement troublant.