Il faut bien que j'existe
Mon histoire

→ Quand la drogue, c'est vos amis ♦ Caleb & un ami

Fumer, c’est juste une cigarette d’abord pour épater les copains et faire partie de la bande la plus populaire de l’école. C’est les filles aussi les plus belle qui sont là mais aussi celle qui ont un fort caractère. Enfin quand on fait partie de ce groupe on dégénère rapidement. Je ne pensais pas à ca quand j’ai fumé ma première cigarette. J’avais 16 ans. Vous direz c’est jeune, vous vous trompez. J’étais dans ceux qui avaient commencé les plus tard. Je ne faisais que fumé une cigarette par ci par là mais dans le groupe n fumait bien plus souvent et je me suis habitué au rythme. Je ne voulais pas en arriver là où j’en suis.

- Putain Mec ! Tu dois arrêter, tu déjantes. Tu deviens comme eux !
- Mais de quoi tu parles ! Je ne fais rien !
- Enfin, t’es défoncé ! Jamais tu ne seras un grand musicien si tu continues !
- Et alors !
- Ton père a eu raison de mourir avant ta naissance, à sa place, j’avoue que j’aurais jamais voulut voir mon fils partir comme ça.

Il y avait des points sur lequel il ne fallait pas m’attaquer. D’habitude si on parle de mon père, je défonce la personne. Je ne suis pas bagarreur mais me parler de mon père me rend violent. C’est pour me protéger d’un mal être. Mon père était un grand homme et un mari formidable pour ma mère, je comprends qu’elle le pleur encore. Bien que je ne l’ai jamais connu, j’en ai tellement entendu parler que j’ai l’impression de l’avoir toujours connu. Je ne fus pas de mauvais poil cette fois là sur mon pote, j’étais trop défoncer mais il avait raison. Je devais arrêter. Je ne sais pas s’il sait que c’est grâce à lui que je n’ai plus jamais fumé un joint, ni snifer de la poudre blanche. Bon, bien, sur là cigarette, j’ai toujours un paquet dans mon bureau. Mais je ne fumes plus aussi souvent qu’avant.


→ On oublie jamais ♦ Caleb & Raphael

Certains visages ne s’oublient jamais. Ils restent graver dans votre mémoire pour qu’à chaque fois que vous fermer les yeux vous puissiez les voir. Je n’ai jamais oublié son visage ni ses cheveux à la couleur du blé des champs, ni sont odeur doucement parfumé. Hé puis comment l’oublier ! Elle a tout pour plaire. Elle a un sourire magnifique qu’elle porte toujours aux lèvres. Le jour où je l’ai rencontré je ne pensais pas que cette date serait importante pour moi. Elle était arrivée en milieu d’année, déménagement. Nos casiers étaient l’un à coté de l’autre, c’est d’ailleurs comme ca que je lui ai parlé la première fois.

- Salut ! Moi c’est Caleb. Je crois qu’on est voisin de casier
- Salut, Raphaël Tohson. On dirait bien qu’on se verra toute l’année
- Oui et ce sera la seule, dommage. Je suis en première
- Tu dois bien connaitre les couloires alors, elle est où la classe de Miss Johanson
- A l’étage supérieur mais tu devrais te dépêcher, elle déteste être en retard.
- Merci pour ton aide, à bientôt alors !
- Oui à bientôt. Je suis souvent aux casiers, si tu as besoin d’autre chose, n’hésite pas.

Et je la vis souvent. Elle allait autant de fois au casier que moi. Je pensais qu’on pourrait être amis. On l’a été un moment mais finalement ca n’a pas marché. Il y avait ce quelque chose en plus qui m’attirait vraiment chez elle. Je n’étais pas le seul à ressentir ca. La première fois que je l’embrassais nous étions aux casiers. Elle m’avait un peu provoqué. Elle jouait quelque peu avec moi et je rentrais dans ce jeu. Ce jeu amena à l’amour. Je n’ai jamais aimé quelqu’un comme je l’aimais elle, comme je l’aime. Il s’en suit pleins d’autre baisers aux casiers. Et quand je quittais l’école à la fin de l’année, je continuais d’être avec elle car je ne pouvais m’imaginer la quitter.



→ Tout change un jour où l'autre ♦ Caleb & Raphael / Caleb & son ex femme

Quand vus êtes heureux vous ne vous rendez pas compte de ce qui pourrait rendre cette vie horrible à vivre. Vous pensez que rien ne peut détruire ce que vous avez construit. Pace que l’amour vous lie vous pensez que rien ne vous séparera. Ce jour-là, c’est ce que je pensais. J’en étais convaincu. Quand je la regardais, quand j’étais dans ses bras, quand je sentais son odeur, je me sentais invisible. Je pensais que ca durerais, que nos projets se réaliseraient. Et puis j’avais tord.

- Raphael ! Dis-moi pourquoi tu pars !
- Nan ! C’est fini c’est tout, je retourne chez ma mère laisse moi !
- Qu’est ce que j’ai fait ? J’ai besoin de toi Raphaël ! Ne me laisse pas !
- Ce n’est pas toi ! Je t’en supplie reste loin de moi, je ne veux plus te voir.

Je ne pensais pas pleurer pour une femme mais c’est arrivé. Quand elle eut franchis la porte, je fondis en larmes. Je l’avais supplié mais j’étais incapable d’aller contre sa volonté. Si elle voulait partir, je ne pouvais pas l’en empêcher. J’étais resté sur le sol à pleurer tout la journée. Parfois je me relevais et je cassais quelques choses. J’étais énervé contre moi, contre elle parfois. Je partis pour Las Végas où je passais plusieurs nuits avec quelques filles et des joints mais je ne l’oubliais pas. Sauf quand je buvais un peu trop et que j’avais pris un peu de substance illicite.

- Et si on se mariait, elle t’a laissé ! Elle ne t’aime plus ! Aime moi, moi !
- Maintenant ? Ici ?
- Oui soyons fou !
- J’accepte ! allons trouver un prêtre. Après tout nous sommes à Las végas.

Je me suis marié la veille de mon anniversaire. Quand je me réveillai de cette nuit-là, je compris tout de suite que j’avais fait une énorme gourde et je téléphonai tout de site à un avocat pour faire annuler ce mariage. La fille aussi avait comprit que c’était une connerie heureusement. Nous avons pu annuler ce mariage. Je n’en ai jamais parlé même pas à ma propre mère. Elle n’a jamais su comment j’ai souffert de la séparation avec Raphaël. Je lui ai même dit que c’est moi qui l’avais quitté. Je lui mens encore. Je lui mens en lui disant que je m'en veux de l'avoir quitter et que c'est pour ça que je vais à New York. Comme j'ai continuer la musique, je lui dit surtout que j'ai été reçu dans la plus prestigieuse FAC. Elle est fière de moi. Mais je sais que j'y vais juste pour elle, pour savoir pourquoi elle est partie, pourquoi j'ai du souffrir sans savoir la raison.