Je suis née de deux parents plutôt riches, en plein voyage d’affaires. Enfin.. séjour. J’ai eu le temps de vivre à Saint-Pétersbourg environ deux ans. J’ai pu reprendre une vie normale à Seattle, jusqu’a mon entrée au collège. Jusqu’ici, j’avais toujours était la fille un peu en retrait, mais pas au point d’être seule. A collège, tout a changé. Je suis devenue une espèce de vilain petit canard. Sauf qu’on ne m’avait pas prévenue que les autres gens de mon âge pouvaient être aussi méchants.. je recevait au moins une lettre d’insultes par semaine, voir et quelques fois des lettres de menaces. Pour les professeur,j’étais juste une gamine qui n’arrivais pas a s’intégrer. J’aurais pourtant tout fait pour m’intégrer... J’aurais même étais faire la couverture de Play-boy. Mais rien ne pu jamais tarir la haine que mes camarades avaient pour moi.
C’est seulement quand je suis rentrée au lycée de Toronto que le cauchemars a pris fin. J’avais fait de gros efforts. Je m’étais approprié un style de pseudo grunge, qui me va bizarrement à merveille. Je m’étais entraîner à me maquiller tout l’été, et le jour J, tout étais parfait. On m’avait élogé une bonne dizaines de fois, et tout au long de la semaine, on ne cessait de me faire des sourires. Je m’étais lier d’amitié avec toute ma classe, et j’étais apparemment une des plus appréciables. J’ai finalement plonger dans le cauchemar de tous les parents. Cigarette, alcool, sexe et drogues. Oui, mes parents se seraient décomposés s’ils avaient appris le quart de tout ce que je faisais. Ils savaient juste que je fumais et avaient renoncer a me faire arrêter. Quand j’y pense, mes pauvres parent... Eux qui me prévoyaient un bel avenir en tant qu’avocate.. Je les ai déçu en abandonnant les études, mais j’avais trop peur de continuer… La FAC, c’est assez impressionnant... Jamais je n’aurais eu le courage d’y aller, de toutes façons. J’ai finalement continuer a traîner avec les mauvaises personnes, a sortir avec des garçons qui me prenaient tous pour une moins que rien, certains m’ont même déjà battue, mais peut importe, je suis devenue une de ces filles de bas quartiers destinée à se prostituer a n’importe qui, pour n’importe quoi, pour avoir une autre vie, peut-être.
J'ai heureusement échapper à ce destin en trouvant un boulot que j'ai malheureusement eux par semi promotion canapé - comme quoi les choses peuvent tourner en ridicule. Oui, ma vie est ridicule, mais je ne me suis jamais sentie aussi bien. Alors je n'ose même pas imaginer comment je serais si j'avais un quotient de bonheur s'élevant à 100.