She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko
Auteur
Message
Invité
Invité
Sujet: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Mer 11 Mai - 19:31
Yôko Mima
✎ NOM DE FAMILLE : MIMA ✎ PRÉNOM(s) : YÔKO ✎ ÂGE : 20 YO. ✎ NATIONALITÉ : JAPONAISE. ✎ STATUT AMOUREUX : CELIBATAIRE. ✎ ORIENTATION SEXUELLE : HETEROSEXUELLE.
✎ ÉTUDES : CHANT. ✎ 2 CURSUS : CHANT LYRIQUE, ROCK. ✎ UN SECRET : ELLE ETAIT TRES CONNUE EN ITALIE. ✎ AMBITION(s) : REALISER SES RÊVES QUELS QU'ILS SOIENT. ✎ GROUPE : ALPHA.
- Your Beautiful Story, baby -
Quand Yôko est née, elle ne semblait pas promise à un avenir tel qu’elle l’a connu. Le 1er juin 1990, une petite fille comme les autres est venue au monde dans la grande et belle ville de Rome, en Italie. Malheureusement, dès la naissance, elle présenta des signes de légers troubles respiratoires, tels qu’une respiration caverneuse et des instants d’apnée, pendant lesquelles elle cessait tout bonnement de respirer, durant son sommeil, très dangereux pour un nourrisson. Possiblement mortel. Par chance, ça n’a pas été le cas pour Yôko sinon, elle ne serait déjà plus là. Tout ce qu’elle a gardé de ses troubles sont des phases d’apnée très courtes qui ne sont plus du tout dangereuses pour elle. Malgré tout, ses parents ont été comme qui dirait traumatisés par ces petits incidents et ont eu tendance à dès lors surprotéger leur fille unique. La maman du moins, car papa était très occupé par le gang et devait rester souvent plusieurs semaines à Tokyo, s’occupant de leurs casinos et de leurs affaires. Bon gré mal gré, il était forcé de laisser ses petites femmes en Italie très souvent. Ainsi, les deux femmes ont vécu la plupart du temps seules. Quand l’homme de la maison rentrait, c’était toujours festif. Mima Satoshi refusait que ces petites femmes regrettent sa présence et il cherchait constamment à se faire pardonner pour ses absences à répétition.
Faisant partie des rares japonais de Rome, son père a dû s’adapter et apprendre la langue à l’aide de sa femme, une italienne de Vérone. Yôko a été élevée en italien et en japonais et maîtrise aujourd’hui parfaitement ces deux langues. Elle a suivi une scolarité tout à fait normale à une exception près, elle a eu droit à des horaires aménagées très tôt à cause des cours de chant lyrique qu’elle prenait très assidument. Elle est presque née en écoutant des opéras mais ce n’était pas une passion, plutôt quelque chose très proche. D’où le fait qu’au début, elle se disait qu’elle suivait ces cours par passion. Cela s’est déroulé de la sorte jusqu’à ses seize ans. Mais n’allons pas trop vite en besogne. Yôko était une jeune fille très jolie et sans le vouloir, tous les garçons qu’elle a connus au collège étaient amoureux d’elle. On sait ce que cela veut dire à leur âge. Ça s’en va et ça revient, comme on dit. Yôko était entièrement concentrée sur le chant, faisant de son mieux pour toujours être la meilleure. Très tôt, vers l’âge de quatorze ans, elle a commencé à parcourir le pays en tant que mezzo-soprano et soliste. Sa meilleure amie, Elena, aussi était soliste. D’ailleurs son grand-frère est le seul garçon auquel Yôko se soit vraiment intéressé. Mais il avait dix-huit ans et elle quatorze et ne semblait même pas la remarquer. Cela lui était un peu égal finalement, s’étant faite à l’idée qu’elle ne pourrait jamais l’avoir. Sa vie a complètement changé de cap quand un matin, les femmes Mima ont reçu un appel du Japon. C’est Yôko qui a dû parler à leur interlocuteur, sa mère ne comprenant pas le japonais. Dur pour une petite fille de quatorze ans d’apprendre par un inconnu que son père est mort d’une balle dans le dos. C’est d’une voix douce, les yeux secs, qu’elle l’a annoncé à sa mère qui elle, a fondu en larmes. Compréhensible quand on perd l’homme qu’on aime. Et Yôko alors ? Yôko rien du tout. Elle n’a jamais pleuré la mort de son père. Pourtant Dieu sait à quel point elle l’aimait.
Sa perte s’est ressentie sur sa vie personnelle, si tant est qu’on puisse normalement en avoir une à cet âge-là. Yôko en avait une. Ou plutôt, elle a commencé à en avoir une le soir où elle s’est rendue chez Elena pendant qu’elle n’était pas là et que ses parents étaient partis en weekend, laissant leur aîné seul à la maison. Pas le genre à faire la fiesta jusqu’à pas d’heure pour profiter de l’absence des parents, il s’était simplement installé devant la télévision avec des plats commandés au chinois. C’est ainsi que les deux ont commencé la soirée… pour la terminer dans le lit simple du garçon. Leur histoire n’a pas duré plus longtemps. Yôko s’est rhabillée deux heures plus tard et est tout simplement rentrée chez elle, saluant à peine celui qui avait été son partenaire pour la soirée. Jusqu’à l’âge de seize ans, Yôko enchaîne les conquêtes adolescentes et les concerts dans toute l’Europe. C’est à ce moment-là que sa mère décide de l’envoyer vivre aux Etats-Unis. « Tu sais, je n’ai pas les moyens de m’occuper de toi. Il vaut mieux que tu ailles vivre chez ta grand-mère à New York. » C’est ça. Et le type qui vient tous les soirs quand tu crois que je dors, il n’y serait pas pour quelque chose ? Un pur mensonge sachant qu’elle a hérité de toute la fortune de son mari… Pas les moyens de s’occuper de Yôko mais d’elle-même et de son amant l’italiano, ça oui. Cependant, Yôko n’a pas objecté et s’est laissée envoyer aux US. En arrivant au JFK Internation Airport : choc culturel, pitié renvoyez-moi en Italie. Pas moyen.
Sa grand-mère était une femme d’environ quatre-vingt ans, aimante et douce qui prenait très bien soin de Yôko. Elle ne l’a pas forcée à continuer les cours de chant lyrique, voyant que la jeune femme ne s’y intéressait plus tant que ça. Finalement, elle préférait chanter des choses plus d’actualité. Contrainte et forcée par sa nouvelle tutrice de continuer les cours, elle n’arrivait pas à se mélanger aux autres, soudain totalement impuissante face à une langue qu’elle pensait ne plus savoir parler. Pendant les deux premiers mois, elle ne fait aucune rencontre digne d’être relatée jusqu’à une petite annonce sur le panneau d’affichage du lycée. Une annonce toute bête qu’elle a trouvée ridicule à première vue. « Cherche voix féminine pour groupe punk/rock ». Et tu peux pas écrire correctement non, qui que tu sois rédacteur de cette annonce ? Plantée devant le numéro de téléphone, tout en bas du message, elle a directement appelé et est tombée sur un garçon de sa classe qu’elle n’avait jamais remarqué avant. Comme si elle remarquait qui que ce soit. Un garçon un peu original, aux cheveux blonds peroxydés, incapable de tenir en place plus de cinq minutes. Un bassiste. Le batteur était un garçon un peu enveloppé, toujours souriant et bonne patte. Quant au guitariste, le leader, une vraie teigne. Il n’a pas daigné la regarder de toute la séance d’essai, gardant les yeux fixés n’importe où sauf sur elle. A la fin de la séance, il s’est vaguement incliné et l’a congédiée avec un « on te rappellera » auquel elle a répondu par un « et un merci, ça t’aurait arraché la langue, crétin ? ». Très fière d’elle, la tête haute, elle est ressortie. Cependant, elle ne s’est pas fait d’illusion, il y en avait des dizaines plus douées qu’elle. Deux jours plus tard, un coup de téléphone. « Okay, t’es prise. Viens à dix-neuf heures en salle de musique. » Bip bip bip. Toujours aussi aimable, ce type. C’est ce soir-là qu’elle fut officiellement présentée en tant que chanteuse. Ils avaient tous le même âge, sauf le guitariste de trois ans leur aîné.
Petit à petit, ils ont commencé à se produire aux fêtes et évènements de leur lycée, puis dans de petites salles de concert de Tokyo. En deux ans, ils s’étaient fait une petite réputation. Ils étaient comme une petite famille, passant presque tout leur temps ensemble. Yôko ne s’est jamais sentie aussi bien et stable dans sa tête qu’à ce moment-là. Elle a appris à tous les connaître. Lloyd le bassiste et son caractère surexcité mais tellement gentil qu’il est devenu son meilleur ami, Derek le batteur que rien ne pouvait énerver alors qu’à la batterie c’était un vrai démon, et Samuel leur guitariste et bien-aimé leader qui n’est pas si méchant qu’il en a l’air. Au contraire, il a un peu le même caractère que le batteur. A la fin d’un de leur concert, ils ont reçu la visite d’un employé d’une maison de disque qui voulait absolument que Yôko quitte le groupe pour entamer une carrière solo. « C’est moins contraignant. Vous n’aurez pas à vous plier aux exigences des autres membres. En solo, vous n’aurez que des membres de session venus pour jouer et rien d’autre. » Evidemment que la perspective d’être recrutée par une maison de disque réputée l’enthousiasmait, mais elle refusait de partir en laissant le groupe. C’était eux ou rien. Après un long moment de réflexion, l’agent lui proposa de faire venir uniquement Samuel avec elle. Sur le moment, elle lui répondit qu’elle allait réfléchir.
Dans sa tête, il était clair que c’était un non ferme et définitif mais après quelques jours de réflexion, il lui apparut que si elle rapportait assez d’argent à l’agence, elle pourrait leur demander de faire venir aussi Lloyd et Derek en tant que membres de session. Seulement, le plus dur restait à faire : convaincre Samuel de lui faire confiance. Elle lui promit à lui, ainsi qu’aux deux autres membres que son plan marcherait sans aucun doute. Deux jours plus tard, le contrat était signé. Yôko avait lu et relu toutes les clauses du maigre contrat et rien ne l’empêchait de choisir ses membres de session. C’est ainsi qu’est née l’unit Haze. Un an durant ils travaillèrent comme des forcenés pour acquérir la célébrité qu’ils ont aujourd’hui. Tous les médias le disent, il est rare qu’un petit groupe formé de débutant face autant de chemin en un an. Ce groupe faisait la fierté de ses membres ainsi que de Derek et Lloyd qui espéraient bien pouvoir l’intégrer un jour. Il y a précisément huit mois et six jours, les nouvelles célébrités que sont Samuel et Yôko demandèrent à pouvoir changer de membres de session. La sentence tomba. Rien ne mentionnait cette possibilité dans le contrat et dans ce cas, l’agence s’occupait elle-même de trouver les membres. Malgré leurs efforts pour les convaincre d’accepter de recruter Lloyd et Derek, ce fut vain. Quand ils durent leur annoncer la nouvelle, Yôko chargea Samuel de le faire, complètement incapable de leur faire face. Les deux garçons coupèrent tous les ponts avec la jeune femme après cela, ne gardant contact qu’avec Samuel. Après tout, c’était elle à la tête de ce plan, pas le guitariste. Elle a eu beau les appeler, ils n’ont jamais décroché. Quant à Samuel, il semble la haïr et ne s’adresse plus à elle que par monosyllabes s’il le peut. Il lui a clairement dit que s’il restait dans le groupe, c’était à cause du contrat mais que dès que celui-ci toucherait à sa fin, il ne le renouvellerait pas et retournerait avec les garçons. Elle lui a grandement facilité la tâche, quittant d'elle-même le groupe, rompant le contract avec la maison de disque. Déçue, elle a été obligée de reprendre les études. Bonne surprise ou pas, sa grand-mère a lourdement insisté pour qu'elle s'inscrive à Niagara Falls, espérant un jour revoir sa petite fille sur scène, ce que redoute Yôko plus que tout. Cependant, ne sachant rien faire d'autre que chanter, c'est ce cursus qu'elle a choisi.
- Hey You, No You Don't Have to Go. -
Prénom/Pseudo : Carrie. Age : 18yo. Sexe : F. La célébrité choisie : Anna Tsuchiya Comment trouves-tu le forum : Très joli design, un large choix de cursus *O* Comment l'as-tu découvert : Grâce à Syed :3 Ta présence dessus : 7/7 (geek et en vacances ) Un commentaire : Nope mais une question ! Est-il possible qu'une étudiante soit déjà connue ? °° Le Code : Ok by Caleb
Exemple RP :
Spoiler:
Ming Yue n’est vraiment pas avec moi, en ce moment. Trois fois qu’il tente de parler, trois fois que je l’en empêche. Pas ma faute si j’ai envie de lui. Bon, soit j’ai tout le temps envie de lui. Mais maintenant plus qu’il y a une heure on va dire. Je comprends bien que cette nouvelle l’ait un peu déboussolé mais quand même. Peut-être que si je me lève et que je fais un strip-tease devant lui, il réagira enfin. Pas sûr, cependant. Et je préfère ne pas prendre de risque au cas où il me laisserait tomber comme ça. A quoi il peut bien penser ? Ah je sais. Maintenant que Bidule est là, il veut qu’on se tienne, mais il peut toujours courir. Le gosse est pas né, on a encore neuf mois pour profiter. Qu’il n’imagine même pas réussir à me faire écouter les Sex Pistols en sourdine. Je sens qu’il va y avoir quelques différents au niveau de nos méthodes d’éducation mais on va bien rigoler. Ils vont être beaux les parents du petit. Une belle paire de bras cassés. J’ai tellement hâte de l’avoir finalement. C’était une sorte de rêve de petite fille : avoir un enfant, un mari aimant et beau. J’ai l’impression que ce rêve est en train de se réaliser. Enfin presque, Ming Yue et moi ne sommes pas encore mariés. Et si cela arrive un jour, je tenterais de ne pas faire d’arrêt cardiaque. Morte de trop de bonheur, ça existe ?
Après lui avoir tendu le téléphone, je me rallonge sous lui, légèrement renfrognée. C’est bon. Je ne connais pas son père mais il m’emmerde déjà. A-t-il la moindre idée du moment qu’il interrompt là ? Non, évidemment, sinon il n’aurait pas appelé durant cet instant crucial. Il décroche apparemment à contrecœur et engage la conversation en chinois. Tu ne veux pas que je comprenne c’est ça ? Après tout si son père est propriétaire d’une grande entreprise, il doit sûrement parler japonais… Ou alors je me fais tout simplement des films. Peut-être que son père ne parle tout simplement pas le japonais. Et il est normal qu’ils parlent dans leur langue natale, finalement. Ne te prends pas la tête pour ça, Sei. Si je commence, je suis bonne pour faire la tête toute la soirée. Au moment où je me décide à me hausser sur les coudes pour l’embrasser. Il écarte le combiné de sa bouche et brandit une quatrième fois le test de grossesse.
« Tu… Veux le garder en souvenir ? »
Quelle question ! Souvenir de quoi ? D’un enfant que l’on ne voulait pas au départ mais que l’on a aimé dès qu’on a appris son existence ? Certainement pas. Il pose l’index sur ses lèvres et m’adresse un sourire complice. Je le lui rends en secouant négativement la tête, l’oblige à écarter sa main et l’embrasse doucement. Bon. Je l’ai eu mon baiser, enfin. Satisfaite, je m’écarte très lentement, voulant au maximum profiter de ses lèvres, et me rallonge. Quelqu’un hurle le prénom de mon ange. Que lui veut-on encore ? Ne peut-on pas passer des vacances tranquilles ? C’est sans doute trop demandé. Attends. Une seconde. Pause. Il y a un souci, là. Si j’ai entendu quelqu’un l’appeler, c’est qu’il y a quelqu’un derrière la porte. Impossible autrement, la voix était trop claire pour provenir du combiné. Ming Yue n’a pas l’air de s’en rendre compte et plaque le téléphone contre son oreille pour répondre. Une nouvelle fois, j’entends son nom complet suivi de quelques mots de chinois. Merde. Je l’ai encore entendu. Mes yeux doivent faire deux fois leur taille normale à présent. Je tends la main pour tirer la manche de Ming, afin de le prévenir que quelque chose cloche mais il s’écarte avant que j’ai pu l’atteindre et saute du lit. Mon cœur bat soudainement plus vite. Avec des gestes brusques, il ouvre le tiroir de la table de nuit et y pose le test. Il est beaucoup plus délicat en le refermant.
Je n’ai donc pas rêvé. Il y a bien quelqu’un derrière la porte. Quelqu’un qui attend qu’on lui ouvre. Quelqu’un qui ne se permettrait pas de l’appeler ainsi par son nom complet s’il n’était pas… Holy mother of God. Son père. Je me redresse instantanément puis me lève. Lorsque Ming Yue se tourne vers moi, j’y lis le même air de panique que celui qui me prend. On est fichus ! Et revoilà les nausées ! Je fonce dans la salle de bain tandis qu’il s’avance vers la porte et avale un cachet d’anti-vomissements qu’il m’a acheté à l’aide de l’eau du robinet. Pitié, faites que ça passe vite. Après un vague coup d’œil au miroir, je me rhabille correctement et arrange mes cheveux. Je suis à peine maquillée. Pas assez pour ressembler à une de ces pétasses que je croise dans la rue, mais assez pour ne pas ressembler à un gros chat qui sort du lit. Okay c’est bon. Il n’y a plus qu’une chose à faire : bonne figure. Dans la chambre, Ming Yue a entrebâillé la porte et trouvé le moyen de n’y passer que la tête. Est-ce une manière d’accueillir son père, je vous le demande ? J’entends d’ailleurs ce dernier rire dans le couloir. Bon ça n’est pas si mal. Respire. Inspire. Expire. Tout va bien se passer. Faites qu’il parle japonais ! Il le faut ! Je ne parle pas chinois, moi ! D’une main ferme, j’attrape Ming Yue par derrière et le fait reculer doucement. Ma voix est à la fois douce mais légèrement tremblante.
« Ming Yue, ne laisse pas ton père dans l’entrée, voyons ! »
Puis j’ouvre entièrement la porte et m’écarte du passage pour laisser passer le patriarche que je n’ai même pas regardé puisque j’ai la tête baissée. Je déteste faire du lèche-botte mais dans ce cas-là, c’est absolument nécessaire. Pour une fois, je ferais exactement ce que m’a dit Ming Yue, s’il part dans ses soi-disant délires, ce sera sans moi. Je serais mature et mûre, je ne le laisserais pas me provoquer. Tandis qu’il entre, je m’incline presque à la perpendiculaire et ajoute :
« Entrez, Wang-san ! Nous sommes ravis de vous accueillir ! Veuillez nous excuser pour le désordre, nous venons juste d’arriver… »
Je referme doucement la porte, n’osant toujours pas lever les yeux. Et là, gros moment d’hésitation. Faut-il lui dire que je suis la petite amie de son fils, ou laisser planer le doute ? Je suis vraiment une daube en relations humaines.
« Ano… Hajimemashite, Kano Seira desu ! »
Pas le courage de lui dire, finalement. C’est Ming Yue qui m’a fait peur avec ce qu’il m’a raconté dans l’avion, aussi ! Enfin, je relève les yeux. Contrairement à ce que j’imaginais, son père n’est pas le style de mafioso italien qu’une bourrasque pourrait faire tomber, au contraire, il est plutôt bien bâti et beaucoup plus imposant que je ne le pensais. Involontairement, je fais quelques pas en arrière jusqu’à me retrouver à côté de mon ange. J’espère que je n’ai pas dit de bêtises. J’aimerais vraiment que tout se passe bien !
Dernière édition par Yôko Mima le Jeu 12 Mai - 16:16, édité 3 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Mer 11 Mai - 19:47
Bienvenuuuuuue Yôkoooooooooooo
頑張ってください pour ta fiche
Hâte de RP avec toi, again and again~
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Mer 11 Mai - 19:50
ありがとう、ねえ。
I'll do my best !
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Mer 11 Mai - 19:52
Welcome !
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Mer 11 Mai - 19:54
Merci merci !
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Mer 11 Mai - 19:57
Donc bienvenue à toi Pour ce qui est de ta question j'ai répondu à ton MP ^^ Ensuite marci d'être là et si tu as un problème n'hésite pas (A) Good luck!
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Mer 11 Mai - 20:11
Yeah sankyu !
Eh bien voilà, j'ai terminé ma fiche ! J'espère que ce n'est pas trop bâclé >///<
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Jeu 12 Mai - 9:34
Non elle est très bien, j'aime beaucoup ta fiche et comme elle est complète je te VALIDE Tu peux désormais faire tes demandes. Bon jeu et amuse toi bien
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Jeu 12 Mai - 15:28
Bienvenue ! J'adore l'avatar
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Jeu 12 Mai - 15:57
Mercii
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Jeu 12 Mai - 16:43
Bienvenue ! Anna Tschuiya
Invité
Invité
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko Jeu 12 Mai - 16:45
Mercii Eh oui Anna ♥ Huhuhu
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko
She's not Lennon's wife, but she could have been ♥ Yôko