« Des chansons, des filles || Beaucoup de verres et de nuit || Telles étaient nos heures || Telles étaient nos vies || Futiles adolescent tout nous était permis ... »
C'est dit de Calogero
L'adolescence, tellement de chose à dire, si peu de vérité. Nous avons tous vécu les mêmes expériences, les mêmes apprentissage de la vie. Nous avons reçu les mêmes joies, les mêmes gifles. Le tout diffère dans notre manière de voir les choses et de comprendre celle-ci. Nous avons eu avoir eu une adolescence heureuse, sans trop de heurt, bien sûr quand nous avons cet age, nous voulons nous battre et révolutionner le monde et ses injustices, nous nous soulevons contre nos gouvernement pour avoir plus d'égalité et de liberté. Nous cherchons nos limites, nous franchissons les barrières et nous sommes souvent rappelés à l'ordre violemment. Et rien de tous ça n'a été inutile, nous savons qui nous sommes et pourquoi nous sommes là, dans la plupart des cas. Nous parcourons des zones de turbulence comme la fois où nous nous sommes battus à cause d'une insulte ou à cause de la jalousie, plait de l'adolescence par excellence. Souvent, nous sommes tombés amoureux, nous nous sommes accroché à quelqu'un comme une moule à son rocher et nous sommes tombé de haut quand elle nous a dit que c'était finit. C'est dur la vie d'un adolescent. Mais nous nous en sortons presque tous indemnes, grandit et plus fort encore qu'avant. Nous sommes vivant et plus que jamais.
Je pense avoir grandit. A voir parcourue beaucoup de chemin, je ne m'en suis pas rendu compte tôt, il faut avoir un certain recul pour voir la distance effectuée. J'ai été entouré d'amis, plus ou moins sincère, plus ou moins loyaux. Je suis tombé amoureux, plusieurs fois. Je suis impressionné par le fait qu'un homme peut aimer tant de femme au cour d'une vie. Certain nous disent qu'ils ont épousé leur petite amie de lycée. Je ne me suis jamais assez attaché à une femme étant adolescent, trop bête peut être, trop prétentieux, pas assez mature. J'ai gouté au joie du sport, du contact physique, du dépassement de soit. L'Australie est un beau pays pour grandir, tellement fascinant, renfermant dans de secret, de mystère. J'ai pu gouté aux joies du surf, de la mer et de la nature. J'ai pu gouté aux joies d'être sur scène, de fouler les planches de l'Opéra. J'ai gouté aux joies de vivre avec des gens de tous les horizons, de grandir dans le respect de l'autre. J'ai pu gouté à tout cela en même temps, au même endroit avec des personnes tellement différente.
« My shadow's the only one that walks beside me || My shallow heart's the only thing that's beating || Sometimes I wish someone out there will find me|| 'Til then I walk alone »
Boulevard of Broken Dream de Green Day
Nous avons tous une traversée de désert à effectuer, que nous soyons riches ou pauvre, ce pourrait être la définition de l'homme: sa traversée du désert. Si dur et pourtant amenant à tant de chose. Beaucoup ne n'en sont jamais sortit, beaucoup ont jeté l'éponge avant d'avoir essayer, préférant fuir, se réfugier derrière l'alcool, la drogue ou la mort, certains ont combattu vaillamment pour pouvoir s'en sortir. Et ils y sont arrivé. L'Homme n'est pas à égalité face à ces évènements, tout le monde n'a pas la même possibilité de résister, de combattre ou juste de tolérer le fardeau qui nous tombe sur le dos. La traversée doit se faire seule, dans le noir sans savoir si on reverra le soleil et sa lumière si chaude.
Je pense et j'en suis même sur que ma traversé du désert à été la mort de mon père, cet homme pour qui j'aurais pu donner ma vie, l'échanger contre la sienne, cet homme que je respectais tant, qui m'a tant appris. Cet homme que j'aimais. Mais un jour, mon père n'a plus été à côté de moi et je n'avais déjà plus de mère, je n'ai jamais eu de mère. Ma traversée, je n'ai pas pus la faire en Australie, mon pays, ma terre. Je me suis exiler et j'ai perdu un bout de moi. Je suis partit pour la Californie. La Californie m'a réveillé, m'a donner le courrage de me battre et de sortir de cette zone d'ombre. Je n'étais pas assez bon comédien, j'avais la volonté mais pas le talent, cela aussi à été dur à être accepté mais j'ai finit par comprendre et j'ai décidé d'enseigné cela aux jeunes, de le faire vivre une passion. Ma zone d'ombre était finie.
« Aux armes citoyens ! Formez vos bataillons ! Marchons, marchons ! Qu'un sang impur abreuve nos sillons ! »
Marseillaise de Rouget de Lisle
Nous avons tous un instant dans notre vie qui nous pousse à agir, à aller de l'avance et à frapper un grand coup. Nous voulons montrer nos valeurs et nous espérons que ce sont les bonnes. Un rien, un tout enflamme un Homme et il livre bataille pour sa cause. Il en faut peu pour montrer au monde ce que nous voulons, ces moments là, sont des restes de notre adolescence: l'envie de se battre et de se révolter, de s'indigner et d'agir. La lutte acharnée pour la liberté et l'égalité celle-ci s'oppose à la lutte pour le pouvoir, que l'on mène tous plus ou moins secrètement. Nous sommes des animaux, qui nous battons pour un morceau de territoire, un os …
Ce moment là est celui qui m'a poussé à me rendre à New York. Les Etats Unis étaient en proie à la réforme de la santé, j'étais pour et face à de nombreux personne anti-réforme. Lors d'une manifestation, je me suis emporté et j'ai violemment insulté un agent de police qui a voulu me coffrer pour atteinte à l'ordre publique et insulte sur agent. Je ne me suis pas laisser faire et j'ai filé, ce n'était pas grave mais indigné, j'ai fais mes valises et je me suis rendu à New York où je n'ai pas tarder à trouver une petite place d'enseignant dans la réputé Niagara Evening. J'y suis depuis presque six mois et tout ce passe bien dans la Grosse Pomme.
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Prénom/Surnom : Marine / Plume
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