Il faut bien que j'existe
Mon histoire

→ Il y a des enfants qui naissent dans une famille pauvre, et doivent se battre pour remonter la pente. Ethan n’a pas eu ce problème. Il est né dans une famille aisée, où ses deux parents ont eu un travail décrit comme prestigieux. Deux ans après sa naissance, un petit bout de femme pointa son nez dans la famille. Elle s’appelait Jade, et elle combla la solitude d'un garçon autrefois unique.
Ethan, a toujours été un jeune homme plein de mystère, qui convoitait la curiosité des autres. Cela à commencer, grâce à son talent de musicien. A l’âge de cinq ans, ses parents l’avaient inscrit dans une grande école de musique à Londres. C’est là, qu’il appris la base de la musique. Deux ans plus tard, il s’attaqua à un instrument aussi complexe que le premier : la guitare. Ce fut comme un coup de foudre pour le garçon et depuis, il ne quitte plus d’une semelle cet objet. Par la suite, il concrétisa ses projets de groupe, passant par tous les postes, comme celui de compositeur, de guitariste, de chanteur, etc. En s’inscrivant à Niagara, Ethan avait un but bien précis à l’esprit. En ressortir plus talentueux et plus fort que tout les autres, afin de devenir un artiste major.
Côté scolarité, Ethan n’a jamais été vu comme un looser, ou comme une personne qu’il faut tyranniser. Il faisait parti de la cour des grands, et il avait ce quelque chose qui faisait qu’on avait besoin de le respecter. Mais ce respect artificiel lui joua des tours, car des âmes jalouses de sa popularité, l’entraînèrent dans de sacrées aventures, simplement pour assouvir leur amertume. Connaissant le point faible du garçon, qu’est sa sœur, Jade fut souvent utilisé comme appât, ce qu’Ethan ne peut pardonner.

Il faut bien que j'existe
Mon histoire

→ Mike est né dans une famille modeste dont il est l’aîné. Il ne connaît pas le luxe, mais ne connaît pas non plus la pauvreté. Si l’on peut croire qu’il a de l’argent, c’est parce qu’il s’investit lui-même dans son image, pour renvoyer le meilleur de lui-même. Selon lui, c’est une question de respect de soi. Il a passé la plupart de son enfance, à Séoul, en Corée du Sud. Il quitta son pays lorsqu’il avait quinze ans, pour étudier dans un lycée prestigieux des Etats-Unis qui avait pour option la photographie.
Sa passion pour la photo s’est faite durant sa pré adolescence. Mike adorait par-dessus tout capter l’instant présent, un moment unique qui ne dure qu’un instant pour ensuite s’inscrire dans le temps. Son père lui acheta son premier appareil photo, lorsqu’il avait huit ans. C’était un polaroid, et le plaisir que le jeune homme soutirait en obtenant sa photo quelques secondes après avoir appuyé sur le bouton, était un vrai bonheur. Sa chambre est ainsi tapissée de toutes ses œuvres photographiques. Allant de clichés banals comme un nuage, une truffe de chien, à des évènements comme des conférences et des concerts. Il avait une palette artistique très étendue, et il touchait à de nombreux styles. En entrant dans cette célèbre école d’art, Mike avait pour but d’apprendre de nouvelles méthodes de travail, comme celle de mêler l’infographie à la photo, mais aussi de créer des mises en scènes, etc. Ce qu’il veut par-dessus tout, c’est de suciter chez les autres une émotion lorsque l’on voit ses photos. Il espère qu’une fois ses études terminées, il remarquera enfin les résultats de son dur labeur.