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 « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)

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MessageSujet: « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)    « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)  EmptyMar 2 Juil - 13:24



LYA CHARLIE DA SILVA

Hi! Je m'appelle Lya Charlie Da Silva. Je suis actuellement âgée de 24 ans ans. Je suis né(e) le 14 février 1989, à Florence, Italie. Côté coeur je suis célibataire pour l'instant Dans la vie je suis étudiante en stylisme. Pour finir, on me compare souvent à Emma Stone et je fais partie du groupe des Les étudiants, Dreaming is believing.

Je suis plutôt du genre gentille, douce, affectueuse, intelligente, sage, calme, honnête. Mais comme personne n'est parfait, je suis également discrète, parfois angoissée, bordélique, têtue, méfiante, très curieuse et fouineuse. Ensuite, j'adore les films d'horreur, le chocolat, dormir avec une peluche quand je vais pas bien et que je pleure, parler avec mes amis, le dessin, les cocktails, la plage, rire, le violet, les pommes et je déteste par dessus tout mon passé, le mensonge, qu'on fouille dans mes affaires, les armes à feu, les trafics, les trahisons en tout genre, le kaki, les pastèques, les petits-pois.

MON HISTOIRE:

« Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)

C’est l’histoire d’une petite fille et d’un grand méchant loup qui… || Vous êtes sensé raconter votre histoire Charlie, pas un conte déjà entendu mille fois et que vous avez remixé. || Et bien peut-être que j’ai changé d’avis… […]

CHAPITRE UN

Bon, vous vous doutez bien que si lisez tout ça maintenant c’est que je suis finalement prête à raconter mon histoire. Une histoire bien triste. Sombre. Sanglante. Parfois, je me demande si j’aurais effectivement du venir au monde. Depuis que je suis née, ou du moins pendant longtemps, il n’y a eu que du malheur autour de moi. Vous allez penser que j’exagère mais vous n’avez pas vécu ce que j’ai vécu ni perdu les gens que j’ai perdu. Je dois vous paraître égoïste. Il y a tant de malheur sur cette terre et je me plains de ma petite vie. Mais que voulez-vous ? J’ai apporté tellement de malheur et de désespoir qu’il est difficile de faire comme si rien ne s’était passé. Il y a des choses qui ne s’oublient pas. Il y a des choses qui blessent. Il y a des choses qui restent gravées dans nos mémoires. A tout jamais…

Tout a commencé le jour de ma naissance. Mes parents étaient tellement heureux d’avoir un enfant. Mon père était un architecte qui perçait vraiment et ma mère était maîtresse dans une école primaire. Ils étaient encore jeunes. Mon père, Bart, avait à peine vingt-cinq ans et ma mère, Annabeth, était âgée de vingt-trois ans. Tout aurait dû se passer à merveilles. J’aurais dû naître, grandir entourée de parents aimants. Sauf que le destin en avait décidé autrement. Le bonheur qu’éprouvaient mes parents n’avait pas duré. J’ai été prématurée. Bart avait conduit ma mère à l’hôpital lorsque cette dernière avait sentis de terribles contractions. Elle savait. Elle sentait que quelque chose n’allait pas. Arrivés là-bas, elle fut immédiatement prise en charge. Ils n’avaient pas d’autres choix que d’enclencher le travail. C’était la seule solution ou nous serions mortes toutes les deux. Je montrai enfin le bout de mon nez et ils s’occupèrent de moi. Ils auraient dû entendre ma mère soupirer de soulagement, après l’effort. Ils auraient dû l’entendre leur demander si j’allais bien, si j’étais vivante, si j’allais m’en sortir. Mais rien. Ma mère nous avait quittés. Elle avait rendu son dernier souffle en me donnant mon premier vrai souffle en dehors de son ventre. C’était trop tard, ils ne pouvaient plus rien faire pour elle. C’était la fin. Elle était si jeune… Elle avait toute la vie devant elle. Alors pourquoi avait-elle été reprise par je ne sais quelle entité supérieure ? « Monsieur Da Silva ? » Le médecin s’était arrêté après avoir fait quelques pas dans la salle d’attente. Mon père s’était levé et s’était approché de lui, anxieux. Il s’était rongé les ongles. « Elles vont bien ?! », s’était-il empressé de demander. Le gynécologue avait une mine désolée. « Je suis navré monsieur Da Silva. Votre fille va s’en sortir mais malheureusement, nous n’avons pas pu sauver votre femme… » Il vit son monde s’écrouler. Il se mit assis, espérant secrètement qu’il était en train de faire un terrible cauchemar et qu’il allait se réveiller en sueur dans son lit, aux côtés de sa chère et tendre. Mais jamais il ne se réveilla. C’était sa triste réalité…

Bart venait de perdre son âme sœur. Il n’était pas venu me voir. Il n’y arrivait pas. Il ne voulait pas ou ne se sentait pas encore prêt. Qu’en sais-je ? Je n’ai jamais été dans sa tête. Les jours passaient. Les parents d’Annabeth étaient venus me voir, eux, pendant que j’étais à l’hôpital. Mes grands-parents. Des gens adorables. Vraiment attachants. Lorsque je pus enfin sortir de l’hôpital, ce fut eux qui m’accueillirent dans leur demeure. Mon père passait ses soirées à picoler et ses journées à déprimer. Il l’aimait tellement. Elle était sans doute son âme sœur. La seule et l’unique. Jusqu’à ce fameux soir. J’avais trois mois. Trois longs mois s’étaient écoulés et j’avais été nourrie, soignée, protégée par mes grands-parents. Bart était passé devant la chambre qui m’était destinée. Cette pièce était presque terminée. Du papier peint avec des petits animaux était sur les murs. Les petits meubles de bois étaient ornés de cadres photos. Mes parents, mes grands-parents. Il s’était arrêté devant. Au bout de longues minutes, il avait franchis le seuil et s’était approché du petit berceau dans lequel j’aurais dû être en train de dormir. Les seules choses qui manquaient encore était le petit truc qui tourne et dont la joueuse sait plus le nom, au-dessus du berceau et avec des peluches et autres choses du genre qui pendent. Et la chaise à bascule. Pour Annabeth quand elle se serait assise en me tenant dans ses bras en attendant que je m’endorme. Il s’était assis par terre et avait pleuré de toutes ses forces. Pendant longtemps. Et ce soir-là, il sonna à la porte de chez mes grands-parents. Ce fut ma grand-mère qui lui ouvrit. Sans rien dire, surprise mais heureuse de le voir là, elle le prit dans ses bras. Dans un magnifique silence remplis d’émotions. « Je suis tellement désolé de pas avoir été à la hauteur… Je suis tellement désolé… De l’avoir abandonnée… » Ils le firent entrer et lui donnèrent sa fille. Moi. Il me porta alors pour la première fois dans ses bras, après une hésitation. Mon grand-père avait repris la parole : « On l’a appelée… Hannah Célestine Hepburn… Comme le voulait Annabeth… » Ce à quoi mon père avait répondu : « Vous avez bien fait… C’est parfait… » Et à partir de ce jour-là, il s’était occupé de moi.

CHAPITRE DEUX

Les années étaient passées. J’avais grandis. J’étais devenue une petite fille. Mon père me parlait souvent de ma maman. Il m’avait expliqué, très tôt, qu’elle avait donné sa vie pour que je puisse vivre. Il me disait à quel point elle voulait m’avoir, à quel point elle m’aimait. Il me racontait souvent la façon dont ils s’étaient rencontrés. Il me disait combien elle était belle, gentille, douce et généreuse. Mais il n’oubliait pas d’ajouter en riant doucement à quel point elle pouvait se montrer têtue, agaçante, pointilleuse, perfectionniste. Et il terminait toujours en disant qu’il l’aimait et qu’elle aurait été une maman formidable pour moi. Il ne s’est jamais remarié. Il a bien essayé, de longues années plus tard, de retrouver l’amour mais il n’a jamais eu cette chance. Pourtant, je ne l’en avais pas empêché. En fait, j’aurais aimé qu’il soit à nouveau pleinement heureux. En grandissant, j’ai commencé à me sentir un peu coupable pour le décès de la femme qu’il aimait tant. Sans moi, il l’aurait toujours eu à ses côtés. Ils auraient toujours été heureux. Et un jour, ce fut le tour de mon père. Je ne semblais pas avoir le droit d’avoir une famille. J’avais seize ans quand il fut victime d’un accident. Un accident de voiture qui lui fut fatal. Seize ans. Mes grands-parents auraient pu m’accueillir chez eux mais malheureusement, ils étaient trop âgés. Et financièrement, ils n’avaient plus les moyens pour subvenir à une bouche supplémentaire. Les personnes âgées ne gagnaient pas beaucoup de retraite vous savez… Alors j’ai été dans une famille d’accueil. Les parents étaient adorables. Au début, leur fils aussi l’était. Un jeune homme de dix-sept ans. Plutôt craquant. Gentil. Prêt à m’aider pour m’intégrer dans ma nouvelle école. Le lycée est une période critique dans la vie des ados. Je me sentais plutôt bien. Une certaine complicité s’était installée entre eux et moi. Jason, leur fils, aimait m’embêter, me faire des blagues, me dire des trucs amusants, pour me charrier. Et je n’y voyais pas d’inconvénients. Même quand parfois, c’était sur mon physique ou ce genre de choses. C’était jamais méchant. Parfois c’était même des compliments. Des trucs pour rire. Jusqu’à ce fameux soir…

CHAPITRE TROIS

Jamais je n'aurais cru que ça arriverait. On pense toujours que ça n'arrive qu'aux autres et lorsque ça nous tombe dessus, on tombe des nus comme on dit. C'était une soirée comme une autre. J'étais sortie avec Jason et des amis à lui pour aller voir un film au cinéma. Nous étions en train de rire, de parler, de passer une excellente soirée. C'était parfait. Tout allait bien. Après la séance cinéma, nous nous étions encore arrêtés dans un bar pour boire un verre. J'avais dix-huit ans. Je n'avais rien pris d'alcoolisé parce que je n'étais pas très fan. J'avais choisis un soda. J'étais allé aux toilettes puis je leur avais indiqué mon envie d'aller prendre un peu l'air. Le bar possédait une sorte de cour, une ruelle. Quelque chose comme ça. Je n'en avais que pour deux minutes. J'avais trop chaud à l'intérieur. Juste deux petites et misérables minutes. Les deux minutes de trop de ma vie, si l'on prenait en compte la suite...

« Charlie? » Le groupe d'amis était sortis en ne voyant pas Charlie revenir. « Merde, mais elle est où?! » Jason alla au bout de la ruelle pour voir dans la rue principale. Rien. Pas de Charlie. J'étais déjà dans le coffre d'une voiture, en direction vers je ne savais quelle destination. Jason était revenu vers ses amis, assez paniqué: « Elle serait pas partie sans nous... Jcrois qu'elle a des problèmes. Des gros problèmes. Faut qu'on appelle les flics. » Ils se regardèrent un instant avant de s'empresser d'aller au commissariat. Pour moi, pendant ce temps, avait commencé le début d'une séance en enfer.

La voiture s'arrêta et j'entendis des portières claquer. Mon coeur battait la chamade. J'avais les mains liées avec une corde, un bout de scotch sur ma bouche et un bandeau sur les yeux. J'avais bien essayé de défaire mes liens mais pas moyen. Ils étaient très bien noués. Le coffre s'ouvrit et des mains m’agrippèrent pour me sortir de la voiture. Je n'avais pas d'autre choix que de me laisser conduire. On marcha un instant puis on me fit m'asseoir sur une chaise. J'avais la trouille. C'était sûrement la trouille de ma vie. J'avais déjà eu mal, mon coeur et ma tête avaient soufferts. Mais jamais je n'avais eu autant peur. Pour moi. Pour ma vie. On m'enleva le bandeau des yeux et mon regard dû s’accommoder de la lumière ambiante après avoir été plongé dans le noir. Deux hommes et une femme m'entouraient. Je ne les avais jamais vus de ma vie. Que pouvaient-ils bien me vouloir? Je regardai autour de moi. L'endroit m'était inconnu... On m'enleva le scotch sur ma bouche. « Tu peux toujours crier, personne t'entendra. » L'endroit semblait être un vieux bâtiment en ruine. Sans doute un entrepôt ou une usine abandonné(e). « Qu'est-ce-que vous me voulez? » Ils se mirent à rire, comme si ma question avait été idiote. Je les regardais attentivement. Non, vraiment, je ne voyais pas ce qu'il y avait de drôle. « On veut récupérer l'argent que ton frère nous doit! » Quoi? Mais de quoi parlait-il?

Les heures passèrent sans qu'ils ne me fournissent de réponses. Celui qui semblait être le plus jeune des trois, et aussi celui qui devait avoir le moins de sang froid, me gifla une fois. Assez fortement. Je posais trop de questions à son goût. Il se fit réprimander lorsque les deux autres, qui étaient partis prendre à manger, revinrent. Ils ne voulaient pas qu'on me fasse du mal. Ce fut l'impression que j'eus. Sur le coup. Je crois que j'ai dû rester la dedans, dans ce vieil hangar désaffecté durant quelques jours. De très longs jours. Ils ne m'avaient pas beaucoup nourrie, sans doute pour m'affaiblir et éviter que je n'essaie de m'enfuir. Ils m'avaient donné le stricte minimum. J'avais juste le droit de boire de l'eau quand je le demandais. Mieux que rien, me direz-vous. J'avais vu passer un tas de gens dans cette pièce. Trafiquants en tout genre. J'avais assisté à différents deals. J'avais vu des armes, j'avais entendu des choses. Pourquoi devant moi? Sans doute pensaient-ils que je ne chercherais jamais à m'attirer de nouveaux ennuis en répétant ce que j'avais vu à qui que ce soit. Ou peut-être comptaient-ils me tuer. Je n'en avais pas la moindre idée.

Je me disais qu'on ne me retrouverait jamais. La nuit, il m'arrivait de pleurer. En silence. Puis un jour, ils n'étaient pas là. Je crois qu'ils étaient allé faire des affaires en ville. Un homme arriva. Je pensais qu'il faisait partis de leur bande. Je l'avais déjà vu quelques jours auparavant. Mais je me trompais. C'était un flic infiltré. Il s'approcha de moi. J'imaginais déjà le pire. Il se pencha et commença à défaire mes liens. Un piège? « Hey, ça va? Tu n'as rien? » Il finit de me détacher et je me mis à frotter mes poignets. « Vous... Vous êtes qui...? » Il sourit doucement: « Jsuis pas là pour te faire du mal. Je suis flic. Je m'appelle Angelo. Et toi, tu t'appelles comment? » « Charlie... » Je soupirai doucement de soulagement. C'était terminé? Vraiment terminé? « Je vais essayer de te faire sortir de là. Ils ne devraient pas... » Il fut interrompu par la venue de deux des trois kidnappeurs. Je regardai Angelo. Sa couverture était fichue maintenant. Les armes furent rapidement dégainées. Un premier coup de feu fut tiré. Angelo me poussa pour que je tombe à terre et que j'évite ainsi la balle. Il tira sur l'un d'eux en plein coeur qui s'effondra. « Planque-toi! », me cria t-il. Mais j'étais comme paralysée. Je n'arrivais plus à bouger. Une balle toucha ma jambe et une autre le bras d'Angelo. Il lâcha l'arme qu'il tenait dans sa main. Le pistolet glissa sur le sol. Le tireur, le plus âgé de la bande, s'approcha de lui et pointa son arme sur le jeune homme. Il allait tirer, c'était sûr. BANG! Le tireur tomba au sol dans un gémissement. Tremblante, je tenais l'arme du policier entre mes mains. Je sentis le regard d'Angelo sur moi. Je venais de lui sauver la vie. Mon coeur battait la chamade. Je ne pensais pas qu'il était capable de battre aussi rapidement et aussi fortement. Il se releva et s'approcha de moi. « Charlie... Donnes moi cette arme... » Je la lâchai et elle tomba par terre puis il me prit contre lui un instant avant de me faire sortir de là. Il appela des secours et des renforts qui ne tardèrent pas à arriver. Un médecin m'examina tout comme le fut Angelo. Il vint me voir alors que j'étais assise sur le bord de l'ambulance. ]« Jvais... Jvais avoir des problèmes...? » J'avais tout de même tiré sur un homme. « Non... Tu m'as sauvé la vie. Je ne te remercierais jamais assez pour ça. » Il me sourit pour me rassurer. Mais j'étais loin de me douter de ce qui allait me poursuivre par la suite...

CHAPITRE QUATRE

J'avais dix-huit ans et toute une suite d'évènements allait se produire. J'avais tiré sur un homme qui était décédé quelques jours après être arrivé à l'hôpital. Je ne regrettais pas mon geste. C'était ça ou Angelo et moi y passions. Il s'avérait que mon frère adoptif devait de l'argent à ces types. L'histoire était assez flous mais je compris que si Jason et moi allions au tribunal pour témoigner contre eux, Jason aurait la paix et nous bénéficierions d'un programme de protection des témoins. Le chef était peut-être mort mais un autre avait déjà pris sa place. Et tout le monde savait pour Jason dans leur bande, ainsi que pour moi puisque j'avais vu de nombreuses choses en pourtant que quelques jours. Nous avions témoigné. Et nous avions dû déménager. Toute la famille. Je devais quitter ma ville natale, quitter tout mes amis. Et changer de nom. J'avais choisis Calioppé Mathilde Da Silva. Venise. Une ville magnifique. La ville de notre choix. Tout quitter du genre au lendemain en espérant que ce gang ne nous retrouve jamais. Nous y avons vécu jusqu'à maintenant. Ou plutôt, mes parents adoptifs y vivent toujours. Jason et moi sommes partis en changeant une nouvelle fois de prénoms. Juste pour être sûrs. Nos parents étaient inconnus du gang et nous n'avions jamais été retrouvés. De plus, s'il y avait le moindre problème, le groupe de protection interviendrait sur un coup de fil pour leur permettre de tout quitter une nouvelle fois. Jason opta pour un prénom plus original: Ezéchiel. Ezéchiel Jacob Da Silva. Pour ma part, j'avais choisis de m'appeler Lya Charlie Da silva. J'étais bien loin du prénom qu'avait voulu ma mère... L'université des Arts de Toronto. Depuis cet évènement il y a maintenant six ans, j'avais développé une certaine passion pour le dessin. Et j'avais découvert que je ne me débrouillais pas si mal quand il avait fallu que je dessine la femme qui était avec les deux hommes décédés. Jason, à présent Ezéchiel, se passionnait depuis longtemps pour le théâtre et il avait déjà pris des cours. Il avait arrêté toutes ses conneries. Nous y sommes depuis un peu plus d'un an. Quelque chose comme un an et demi, pour être précise. Mais lorsque j'ai été paralysée en voyant une arme à feu et un flic qui s'en servait, des souvenirs remontèrent à la surface. Je ne mentionne jamais mon passé. C'était comme si je n'existais que depuis six années, depuis qu'on avait quitté Florence. Je devais garder mon passé caché pour être sûre de ne jamais être retrouvée. Alors ce jour-là, les flics me prirent à part pour me mettre à l'abris. J'avais choisis le mauvais jour pour passer par cette rue où une bijouterie était en train de se faire cambriolée. Et c'est à partir de là qu'on me fit voir un psy. Chris. Chris Saltzman. Il travaille comme psy pour la police. Il m'aide. D'une certaine façon. Je crois qu'il est un peu plus comme un père et un protecteur que comme un psy. Surtout que je suis proche de sa fille Roxanne. Une bonne amie à moi. Elle est comme une soeur à mes yeux. Malgré nos différences, je la considère comme une soeur. En plus d'être tous colloc j'entends. Je travaille comme serveuse pour payer ma part de loyer. Je crois que je vais mieux. Même s'il y a encore cet homme qui m'intrigue et avec lequel c'est... étrange...


Dans la vie, je m'appelle Muriel mais on m'appelle Cassie. Sur la toile, je suis connu(e) en tant que Miss_Cassie, Ruby*. Je suis un(e): femme. J'ai 20 ans et j'habite à Metz pour mes études et dans une ville plus petite chez mes parents durant les WE et les vacances. J'ai trouvé le forum grâce à c'est vieux... Un certain O. que rares sont ceux qui le connaissent parmi vous. et je le trouve toujours aussi canon ♥. J'aurais bien autre chose à rajouter: C'est mon énième compte alors z'êtes pas obligé de me souhaiter la bienvenue haha! ;).



Dernière édition par L. Charlie Da Silva le Jeu 4 Juil - 20:34, édité 4 fois
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Krystal P. Greyson
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MessageSujet: Re: « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)    « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)  EmptyMar 2 Juil - 13:31

Bienvenue parmi nous, une nouvelle fois =DD
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Bienvenue encore une fois ;), dit en même temps je me posais une question comme j'ai vu que tu avais trois dc. On a droit a combien?
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REBIENVENUUUUUUUUUUE CHEZ TOI ! « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)  4224206271 

Bonne chance pour ta fiche « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)  1473895523
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E. Heather Rhodes
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MessageSujet: Re: « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)    « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)  EmptyMar 2 Juil - 14:11

Bon, jréponds avec ce compte là, pas envie de changer xD
Krystal: Merciii! ♥
Hailey: C'est à demander au staff. Toute décision sera prise en fonction de l'ancienneté, de l'activité, des points. C'est vraiment un tout. C'est vraiment du cas par cas. Nous on en profite un peu parce qu'on sait qu'on va pas abandonner le forum, on a tellement mis d'énergie dedans qu'on serait nulle d'abandonner.
Roxanne: Merci *-* Oh oui, c'est chez moi ça! ♥ C'est ma maison, c'est un peu une autre famille ♥
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MessageSujet: Re: « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)    « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)  EmptyMar 2 Juil - 14:14

Okay merci de ta réponse :)
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MessageSujet: Re: « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)    « Il était bien trop solitaire pour tendre la main à cette fille aussi seule que lui. On est toujours seul, seul dans la vie, on se croise sans se voir comme perdu dans le noir. » (Jake Jaglieski)  EmptyMar 2 Juil - 23:59

QUATRE COMPTE MAIS TU ES FOLLE !
Je m'incline :p. En tous cas bon courage pour ta fiche Very Happy <3
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(re)Bienvenue parmi nous. I love you
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Alexander; Haha! Oui oui, quatre comptes ♥️ Merci en tout cas ;)
Lou; Merci merci! ♥️

Bon, comme j'ai terminé, je m'auto-valide / 
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