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_« Everleigh A.Williams et Preston J. Garner. »_

-Laisse toi aller un peu !
-Lâche toi, profite de la belle vie.
-Prend un verre. Et un autre x)

« Lâche moi, Lâche moi. J’ai peur, Mamaann. Laisse moi partir, je ne reviendrais pas, me noye pas, me tue pas :(. »

Parlais t’elle dans le vide ? Seul dans sa chambre, allongée sur son lit. En effet il n’y avait personnes, pourtant cette phrase revenait chaque matin, chaque matin cette phrase trottais dans ça tête, la faisant tourner dans tous les sens. Laissant glisser le long de son front quelques petites gouttes, quand d’un coup, elle se releva les yeux comme des billes hurlant dans sa chambre :
« LACCHE-MOOI !! »
Sa respiration était à une vitesse rapide, son cœur battais a toute allure ne la laissant pas respirer calmement, heureusement qu’il n’y avait personne dans les chambres voisines, car ils feraient un bon chaque matin ou presque. Tous se rêve, ou plutôt cauchemars, au bord de l’eau, c’était elle toute petite avec son petit bob sur la tête, sa robe de fleurs et ses petites sandales, elle se promenait le long du ruisseau pour se trouver au calme. Quand soudain quelqu’un l’empoigna et la menaçait de la jeter dans l’eau, il serait tellement fort, que le sang ne passais presque plus dans le bras. Et chaque matin, cela se stoppa la et un crie profond et douleur sortais de la bouche de la jeune Everleigh. Son visage était pâle, son front était tous humide, elle se trouvait mouillé dans son lit. Elle avait tellement transpiré, elle regarda son réveil, il n’était que sept heures du matin… Alors elle prit un petit short en jean, un t-shirt a fine manche blanc et vert rayés, et elle prit ses sou vêtement et partie en direction de la douche, ou la elle fit couler l’eau chaude, elle ne se déshabilla pas, elle était perdus. La jeune femme se glissa sous l’eau chaude, se laissant mouiller tranquillement. Pendant bien trente minutes, elle ne bougea pas restant sous l’eau tranquillement, se mettant ses mains sur son visage, elle était perdus. Ses yeux fermés laissaient couler le long de la joue quelques larmes, et soudain elle se laissa glisser le long de la paroi de la douche, l’eau continuais à tomber a ses pieds. Son sourire de tous les jours avait disparu laissant la peine et la tristesse venir. Son air de provocatrice de dragueuse, n’était plus là, eux aussi étaient partie la laissant seule encore une fois de plus. Laissant s’installer d’un seul coup les larmes le long de ses joues pâle… Pour oublier ce problème elle avait qu’un remède c’était de boire, il n’y avait que ça qui la faisait oublier ses petits problèmes. Elle se leva, enleva ses habits s’essuya rapidement et remit ses habits sec et propre. Elle s’essuya ses cheveux qu’elle laissa en bordel, elle mit se lunettes de soleil prit son portable et la clé et de l’argent bien sur et descendit les escaliers. Everleigh se cachais en quelques sortes derrière ses lunettes, la tête basse, elle tapait dans les petits cailloux qui trainaient le long de la route, quand elle arriva au bar, elle s’installa au bar, et elle garda ses lunettes comme beaucoup d’autre personnes, elle demanda directement un Whisky *0*.

LAISSE COULER TOUTES TES LARMES ♥ Ft. Everleigh & Preston.

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Loin d'être un amateur de whisky le matin, Preston adorait le café. La caféine ? Il y était totalement accroc, et sans sa dose matinale de trois ou quatre tasses, vous pouviez être sûr de le voir dormir sur sa table en plein milieu d'après midi. Que pouvait on lui reprocher à cette dépendance ? Il valait mieux être accroc aux tasses de café qu'aux traces de cocaïne ! Bref, notre brave garçon, sain de corps et d'esprit se rendez comme à son habitude au bar le plus proche de l'université. Pas trop cher ni trop fréquenté, il faisait selon lui les meilleurs cafés de New York. Rien que ça. Poussant la porte, il se dirigea presque mécaniquement au comptoir, saluant les serveurs par leur prénom et attendant son café. Quand il eut la tasse blanche en main, il tourna la tête vers la salle pour trouver une table de libre. Son regard s'arrêta sur une jeune fille qu'il connaissait bien pour être sa meilleure amie, Everleigh Williams, cachée derrière d'immenses lunettes noires pour éviter qu'on la reconnaisse … ou pour cacher ses yeux du soleil. peut être avait elle fait la fête hier soir, ce qui ne serait pas surprenant. Avec un sourire et son habituelle mine réjouie, Preston tira la chaise à ses côté et s'assit, la gratifiant d'un bonjour un peu trop joyeux sûrement pour l'humeur triste de la demoiselle. Le jeune homme ne tarda pas à voir le verre remplis de whisky que tenait la main blanche de son amie. Perdant un peu son sourire, Preston fronça légèrement les sourcils. - Ev … Tout va bien ?

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_« Everleigh A.Williams et Preston J. Garner. »_

La jeune demoiselle ne dormais pas, et elle en avait marre de revoir se rêve chaque matin bien trop tôt d’ailleurs. Elle c’était dit qu’elle ne toucherait plus à l’alcool le matin ou même l’après-midi, et bien elle ne respectait pas ce qu’elle disait ou bien elle allait prendre un café ce qui m’étonnerais beaucoup car la jeune demoiselle détestais le café. Elle finisse de s’habiller de ses maquillé de faire disparaitre les traces comme quoi elle n’avait pas dormit grand choses, elle prit ensuite ses affaires et sortie de la salle e bain et sortie tous simplement du dortoir.

En essayant bien sur de ne pas se faire repérer par un pion ou autres, en quelques minutes la jeune se trouvais dehors, et elle marcha tranquillement mit ses lunettes de soleil et continua sa route sans hésiter, sans se retourner. Se faisant bousculer par plusieurs personnes, mais elle ne réagisse pas, aujourd’hui elle n’avait pas vraiment le moral pour crier après les autres et s’énerver. Elle descendit quelques escalier tranquillement, le soleil montrais le bout de son nez depuis un moment mais cette fois-ci il chauffa de plus en plus, elle continuait de descendre e plus en plus.

Elle avait l’impression parfois de se faire suivre, mais pourtant il n’y avait personnes derrière elle. Everleigh continua à marcher, de toute façon elle n’avait que ca à faire et rien d’autre. Quand elle arriva au bar elle saluât le barman et commanda un whisky et bien elle attaquait fort. Il y avait peu de monde dans le café, pourtant elle n’enleva pas directement ses lunettes, quand soudain elle remarqua qu’un jeune homme s’assit en face d’elle, elle ne bougeait pas. Et puis décida d’enlever ses lunettes, ses yeux était brillant. Aujourd’hui n’était pas son jour, non loin de là. Elle revivait a chaque fois ce qu’elle avait vécue, d’ailleurs cela faisait deux ans qu’elle c’était fait violé. Depuis un moment elle ne faisait que de boire et de fumer, il n’y avait que ca qui la calmaient. Quand elle reconnut que c’était Preston, un léger sourire forcé en quelques sortes s’afficha et elle répondit d’une voie claire et douce ce qui n’était pas bon signe :

-Oui enfin je pense…

Preston poussa sa tasse de café sur le bord et sortit son paquet de cigarette. Quelle chance pour les américains d’avoir encore le droit de fumer tranquillement dans les cafés. Le jeune homme s’en sortit une et la coinça entre ses lèvres et laissa son paquet ouvert sur la table pour que son amie en prenne une si elle le désirait. Sortant ensuite son briquet, il alluma sa clope et tira une longue taffe dessus. Il connaissait ce genre de réponse chez Ev, il connaissait aussi ces moments de déprimes où elle se serait camouflé entièrement si elle avait pu. Etant son meilleur ami, la jeune femme c’était confié à lui plusieurs fois et inversement. Ils avaient tout les deux une grande confiance en l’autre et savaient qu’ils le pouvaient sans risquer d’être trahis. Ainsi, le viol, les cauchemars à répétition … Preston en connaissait la majeure partie. D’une voix calme cachant bien son inquiétude pour elle, il dit : - Encore tes cauchermars ? Preston posa son regard sur sa meilleure amie. Rien ne lui était arrivé de semblable, jamais il ne lui était arrivé d’événements graves alors il était entièrement disponible à l’écoute. S’il ne savait souvent pas quoi dire pour la rassurer à part que rien ne lui arriverait ici, il faisait au moins acte de présence. Parfois, la présence d’un être en qui l’on a confiance et que l’on aime nous fait du bien.