Kaolyn Mitchie
& Crepers

Feat. Arisa Mizuhara.

Identity Cards. ... ✎ NOM DE FAMILLE : Crepers ✎ PRÉNOM(s) : Kaolyn Mitchie ✎ ÂGE : 16 ans ✎ GROUPE : Chant ✎ NATIONALITÉ : Double nationalité: Japonaise et Américaine ✎ STATUT AMOUREUX : Célibataire ✎ SECRET : A été humiliée/abusée lors d'un bisutage violent dans son pensionnat, des vidéos ont été postées sur internet. Elle en a été traumatisé et suis encore une térapie avec un psy réputer de NY pour tenter de revivre sans avoir peur que cela recommence. Le Caractère. Délicate - Douce Discrete - Mélancolique Rebelle à sa manière Calme - Optimisme Craintive - Influençable

Mon Histoire

Allonge toi dans l'herbe, regarde les nuages, laisse toi bercer par le vent, laisse toi réchauffer par le soleil. Allonge toi et ne pense plus qu'à une chose. Qui es-tu ? Voilà la question. Es-tu capable de te définir ? En un mot, un nom ? Kaolyn Mitchie Crepers ne veut pas dire grand chose. Sois d'accord, ton nom ne veut en aucun cas dire qui tu es. Attrape des brins d'herbes, qui es-tu ? Réfléchit. Ton anniversaire n'est pas ta personne mais au moins un élément ... c'est quand ? Ah le 16 Mai 1994. Belle année, n'est-ce pas ? Enfin, tu n'avais pas un an à cet époque ... Bon, tu es née où ? Cela aussi peut aider à nous dire qui tu es ... Osaka ? Sublime. J'ai toujours rêvé de visiter le Japon. Tu n'y a pas vécu ? Ah, tu es venu vivre en Amérique. Ta mère était chanteuse ? Oh magnifique, elle travaillait avec ton père qui était producteur. En voilà quelque chose de bien. Je suis sûre que tu veux ressembler à ta mère ? J'en étais sûre, tu as une jolie voix ? Excellent. Parle moi de ton enfance.

J'étais bien, allongé dans l'herbe, enfin j'étais dans le canapé du psy mais il était doué et j'avais l'impression d'être à la campagne. Je commençais à lui parler de mon enfance, j'étais née à Osaka mais était partie vivre à New York après ma naissance, ma mère voulait suivre mon père qui pour son boulot ne pouvait rester au Japon. Je lui dis que j'aimais mes parents plus que tout. Que j'avais toujours aimé chanté. D'ailleur maman et papa me disent toujours que je serais célèbre. J'aimerais bien mais j'ai peur d'une chose, c'est que ce qui c'est passé l'année dernière recommence et remonte à la surface, qu'encore plus de monde ne soit au courrant. Je n'aime pas vivre dans la peur, ce n'est pas moi, cela ne me ressemble pas. Le psy me demanda de me dire l'adjectif qu'utilisait le plus souvent ma mère pour me définir, je lui répondit Délicate et douce. Il posa la même question pour mon père, et ma réponse fut: optimiste mais influançable. Je me suis souvent mis en colère contre lui car je lui disais que je ne l'étais pas, que j'aimais juste faire comme mes amies, mais aujourd'hui je m'apperçois qu'il a raison. Je n'aime pas parler de moi, je suis une fille discrète. Je pense même que je suis une rebelle mais à ma façon, je ne fume qu'occasionellement et je ne me suis jamais pris une "cuite" mais j'ai souvent teint mes cheveux avec des couleurs excentrique: rose, bleu ... et blond aujourd'hui et je m'habille toujours de manière provocatrice même si je ne suis pas une fille facile ou à la "cuisse légère". D"ailleurs, je n'ai que 16 ans et je suis toujours vièrge. Je n'en ai pas honte.

Maintenant Mitchie, tu va t'enfoncer encore plus dans l'herbe, tu es bien, tu es au soleil, les oiseaux chantent et tu entend des rires d'enfant au loins. Tu te sens bien ? Fantastique, nous allons remonter encore dans ta mémoire. Raconte moi ce qui c'est passé la journée du 18 octobre 2010. N'ai pas peur. Tu ne crain rien. Tu es dans l'herbe. Raconte moi. Laisse les souvenirs te revenir, tu peux aller en avance rapide, retourner en arrière, faire pose ... Tu controle ton esprit. Comment ta journée à-telle commencé ?

J'étais bien et je n'avais pas peur, pas encore. Je me vit dans ma chambre, dans le pensionnat St Marie. Mes parents avaient choisi ce pensionnat en pensant que je serais en sécurité. Je me regardais dans mon miroir, j'étais entrain de coiffé mes beaux cheveux bruns. Je m'habillais prenait ma douche et découvrit un petit bouton sur mon front ...

Bien, très bien, tu te débrouille bien, maintenant, passe en avance rapide jusqu'à midi. Qu'a tu manger ce jour là ?

Je me rappelle que ce jour là, on pouvait sentir une bonne odeur dans les couloirs. A midi il y avait un menu italien avec des pizza, du raisin et tout plein de bonne chose. Je m'étais régaler, une fois n'est pas coutume.

Bien. Maintenant passons à la soirée. N'est pas peur je suis à côté de toi, tu es dans l'herbe et pas là bas. D'accord.

Je hocais de la tête, j'étais retourner dans ma chambre. Là, trois filles m'attendaient. Elles me prirent par le bras et m'entrainèrent vers le gymnase en riant, je n'avais pas peur, je les connaissaient. J'eu un frisson et je sentit le psy me prendre la main. Je me reconcentrai sur mon histoire, mes souvenirs. Les filles avaient commencés à me lancer des défi, une d'elle filmait. Je m'étais au bout d'un moment après des défi banals, retrouvé nu sous les gradins. Et c'est là que tout à commencer. Une des filles m'attacha les mains avec des menottes aux gradins, je ne pouvait plus bouger que les pieds. Elle commencairent à écrire sur mon ventre avec un marqueur indelébile: "Je me suis fait baiser" Je voulu crier pour qu'elle me laisse partir mais elles me mirent un chiffon dans la bouche.

Très bien Mitchie. N'es pas peur, je suis près de toi, tu n'es pas dans ce gymnase, ce n'est pas toi. Continue, tu te débrouille très bien, tu es forte.

Une fille s'apporcha de moi et m'embrassa sur le front et mis ses mains froides sur mes seins qu'elle commenca à masser, j'avais peur je me débatais, elle me gifla en me disant de ne pas bouger mais comme je continuais, une autre fille me mit un couteau sous la gorge, m'obligent à ne plus bouger. Ce que je fis, je ne voulait pas mourrir. La fille continua à me masser les seins de plus en plus fort. J'avais peur mais je ne pouvais pas bouger, la lame de couteau m'appuyait sur la gorge. La fille prit le marqueur et me l'enfonça dans ... Je me mis à pleurer, elle me faisait mal et je ne pouvais me défendre. Après une heure, deux heures même d'enfer elle me laissèrent nue dans le gymnase. J'étais arrivé à enlever le chiffon et je m'étais mis à hurler. Un professeur de sport me trouva et il me sortie de là, me donna une couverture et me réconforta un peu.

Très bien Mitchie, réveille toi maintenant, c'est terminé.

Aujourd'hui

Je n'ai pas changer ma façon d'être, je suis toujours la même et je revis, je recommence à sortir et à m'épanouïr comme une adolescente normale. Mes parents m'ont inscrit à Niagara Evening pour que je suis puisse chanter et mon père m'a même créer un labelle pour me produire. Je vais commencer à chanter et à enregistrer mes morceaux. Je suis heureuse même si j'ai parfois peur, même si je ne supporte plus la présence des femmes, que je les évites en me réfugiant vers les hommes.