en vrac » 23 ans • Canadien • En couple avec Dawn • Fan de cinéma • hétéro • vit seul • aime voyager

caractère » Sympathique • Jaloux • Amical • Curieux • Sensible • tétu • Sportif • chieur • Drôle • bagarreur • Fêtard • ilpatient • aimant • maniaque • charismatique

histoire » Le 26 octobre 1988, Marguerite Hartfield mit au monde un joli petit garçon au nom de Logan Alec Hartfield, dans une maternité de Toronto, au Canada. Pendant ces plus jeunes années, Logan fut pouponner, aimer, chérie, et au centre de l’attention de tout le monde. Il était né dans une famille fortunée, imposante, et qui détenait un très grand pouvoir au sein de la société. Ses parents, Marguerite et Jack Hartfield étaient des personnes à qui on ne refusait rien. Mais ils passaient leur temps au travail, s’occupant plus de leur argent que de leur fils. Ce dernier était toujours gardé par une servante, qu’il considérait plus comme ça mère que comme sa nounou. Cette dernière d’ailleurs était très passionner par l’art cinématographique, et pendant qu’elle gardait le petit Logan, elle regardait plein de vieux films connu comme Le Parrain, ou encore Casablanca ; des films qui suscitait un grand intérêt aux yeux du jeune garçon. C’est alors qu’il se passionna lui aussi pour le cinéma. Ses réalisateurs préféré était sans aucun doute George Lucas ; Clint Eastwood ; Steven Spielberg et Alfred Hitchcock. Il se promit que, quand il serait grand, il travaillerait dans le cinéma, ferait des études dans le cinéma, et vivrait pour le cinéma. Il passa toute sa jeunesse ainsi, ne suscitant aucun intérêt aux yeux de ses parents, et revisitant encore et encore les plus grand films jamais réalisé. C’était le seul moyen qu’il avait trouvé pour « oublier » que ses parents ne faisaient pas attention à lui. Et plus les années passaient, plus Logan s’en rendait compte, et plus il avait du mal à vivre avec cette distance qu’il y avait entre lui et ses parents. Alors il essaya de se faire remarquer, au début à l’école, en cessant de travaillé correctement, en provoquant ses professeurs et ses camarades, mais n’allant jamais jusqu’à l’exclusion, pour son plus grand malheur. Bah oui, on ne virait pas le fils de la famille la plus importante de la ville. Alors il tomba rapidement dans le cercle vicieux de la rue. Il fuma sa première cigarette et prit sa première cuite à 14 ans, fuma son premier joint à 15 ans. Il dealait dans les coins les plus sombre de Toronto, traînant avec les pire délinquant, volait les épiceries … Il alla même jusqu’en prison, se disant que ses parents allait bien voir qu’il n’allait pas bien. Mais non. Ils mirent ça sur le compte de la puberté, lui payant une liberté qu’il n’utiliserait pas vraiment. Logan le vivait de plus en plus mal, ne trouvant plus aucun moyen d’avoir une enfance normal. Il ne savait plus quoi faire de sa vie. Elle n’était qu’une routine comme une autre, une vie sans avenir, sans projet. Une vie d’ignorance, de mépris. Logan n’en voulait pas. A quoi bon vivre dans un monde où personne ne fait attention à vous, où personne ne s’inquiète que vous ne rentriez pas de la soirée, ou de la semaine. Il n’en pouvait plus. Ça l rongeait de l’intérieur, le faisant devenir quelqu’un qu’il n’aimait pas être. Quelqu’un de mauvais, de méchant. Il n’était pas comme ça. Alors qu’il s’apprêtait à en finir pour de bon, Logan arrêta la lame à deux millimètres de son poignet, et se regarda dans le miroir. S’il n’était personne pour ses parents, qui l’empêcherait d’être quelqu’un aux yeux du monde ? Personne ! Il se trouva alors pathétique d’avoir pensé à mettre fin à sa vie. Il balança la lame contre le mur et hurla de rage. Personne, non personne, ne pouvait lui dicté sa vie. Logan se leva, et sorti de la salle de bain, prit un grand sac de sport, et réunis toute ses affaires. Il ne pouvait rester une minute de plus dans la même maison que ces personnes qui ne lui ont accordé aucune secondes de leur temps. Il avait faillis mettre un terme à ses rêves de gloires et de reconnaissance à cause de ces gens. Il n’avait que 19 ans, mais il fallait qu’il reprenne sa vie en main. Il ne voulait plus dépendre de ces parents. Jamais. Pour se venger d’eux, et parce qu’il savait qu’ils aimaient l’argent, Logan s’acheta un somptueux appartement, claqua une bonne partie de leur argent pour la décoration, et s’inscrivit à l’université d’art, Niagara Evening, comme il l’avait prévu depuis qu’il était môme. Il garda assez d’argent pour pouvoir continuer à vivre seul, et rendis le reste à Marguerite et Jack Hartfield, anciennement ses parents. Il trouva un job de serveur dans un restaurant du coin, et commença alors une vie qu’il espérait, plus prestigieuse, et plus enrichissante que celle qu’il avait alors vécue.

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